Hors concours
Ailleurs...
Ailleurs, un mot qui sonne bien à l'oreille,
Qui fait ressurgir quelques rêves enfouis...
Je me vois dans la lumière qui s'éveille,
Contemplant la nature...Splendeur inouïe !
Je suis libre et je respire à pleins poumons.
L'éther embrase les strates qui s'illuminent
Je suis un sage indien dont j'ignore le nom,
Et mon chant s'élève vers les voies divines...
Les roches primaires tels des jupons rouges,
Captent la lumière et dansent un flamenco,
Déclinant une gamme d'ocres qui bougent...
Du tambour, j'entends en mon cœur l'écho...
Le galop des hordes de chevaux sauvages,
La terre qui poudroie m'emplissent de joie...
J'aime à contempler le ciel, et ses présages
Sont autant de lacs où mon âme se noie...
Je suis ailleurs, et je revis chaque matin
L'alpha de la terre, je parle avec le vent...
J'entre dans l'infinitude, accède au divin,
Je vis la création du monde intensément....
Je suis l'indien, le sage des collines, je vois,
Je vois ce que l'homme des temps modernes
Ne veut plus voir, barricadé, sans foi, ni loi,
Par les affres de ses désirs qui l'enferment....
Ailleurs, ailleurs...C'est un peu de bonheur
Qui pour un court instant, calme l'impatience,
Les désillusions incontournables du cœur,
Ailleurs...Une porte entrouverte par la science....
Ailleurs...
Ailleurs, un mot qui sonne bien à l'oreille,
Qui fait ressurgir quelques rêves enfouis...
Je me vois dans la lumière qui s'éveille,
Contemplant la nature...Splendeur inouïe !
Je suis libre et je respire à pleins poumons.
L'éther embrase les strates qui s'illuminent
Je suis un sage indien dont j'ignore le nom,
Et mon chant s'élève vers les voies divines...
Les roches primaires tels des jupons rouges,
Captent la lumière et dansent un flamenco,
Déclinant une gamme d'ocres qui bougent...
Du tambour, j'entends en mon cœur l'écho...
Le galop des hordes de chevaux sauvages,
La terre qui poudroie m'emplissent de joie...
J'aime à contempler le ciel, et ses présages
Sont autant de lacs où mon âme se noie...
Je suis ailleurs, et je revis chaque matin
L'alpha de la terre, je parle avec le vent...
J'entre dans l'infinitude, accède au divin,
Je vis la création du monde intensément....
Je suis l'indien, le sage des collines, je vois,
Je vois ce que l'homme des temps modernes
Ne veut plus voir, barricadé, sans foi, ni loi,
Par les affres de ses désirs qui l'enferment....
Ailleurs, ailleurs...C'est un peu de bonheur
Qui pour un court instant, calme l'impatience,
Les désillusions incontournables du cœur,
Ailleurs...Une porte entrouverte par la science....
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