TROIS JOYEUX DRILLES ,ASSIS SUR UN BANC, L AIR EGRILLARD, DIVE BOUTEILLE EN MAIN ,
REVENT TOUT HAUT ,SE DEMANDANT S ILS AVAIENT DE L ARGENT CE QUE SERAIENT LEURS DEMAINS.
LE PREMIER ,D UNE VOIX QUELQUE PEU ERAILLEE, SE MET ALORS A LA RONDE A VOCIFERER:
MOI, LES POTES ,SI J AVAIS DE L ARGENT ,JE VOYAGERAI PARTOUT DANS LE MONDE ,J AI TOUJOURS VOULU VISITER L ETRANGER.
LE SECOND ,LA BOUCHE PATEUSE ,LES PAROLES MAL ASSUREES ,D UNE VOIX RUGUEUSE ,SE MET A BRAILLER:
MOI ,LES MECS ,SI J AVAIS DE L ARGENT ,J ACHETERAI DES MAISONS PARCE QUE VOTRE BANC, IL COMMENCE A ME GONFLER.
LE TROISIEME LES ECOUTE SANS BRONCHER, IL A BIEN SON IDEE MAIS N OSE PAS LA FORMULER.
BEN ALORS !ET TOI ,SI TU AVAIS DE L ARGENT ,TU NE VEUX PAS NOUS DIRE CE QUE TU EN FERAIS?
OH MOI LES GARS, C EST TOUT SIMPLE, JE M ACHETERAI DE NOUVELLES FESSES ,C EST PAS COMPLIQUE.
LES DEUX AUTRES LE REGARDENT INTERLOQUES :ILS NE S ATTENDAIENT PAS A UNE REPONSE AUSSI INCONGRUE.
BEN OUI QUOI ,DE NOUVELLES FESSES, PARCE QUE J EN AI PLUS QUE MARRE QUE LES MIENNES SOIENT FENDUES!
LA FIN DE CETTE PETITE HISTOIRE ,C EST QUE PAUVRE OU ARGENTE, ON N EST JAMAIS AUSSI BIEN ASSIS QUE SUR SON CUL.
REVENT TOUT HAUT ,SE DEMANDANT S ILS AVAIENT DE L ARGENT CE QUE SERAIENT LEURS DEMAINS.
LE PREMIER ,D UNE VOIX QUELQUE PEU ERAILLEE, SE MET ALORS A LA RONDE A VOCIFERER:
MOI, LES POTES ,SI J AVAIS DE L ARGENT ,JE VOYAGERAI PARTOUT DANS LE MONDE ,J AI TOUJOURS VOULU VISITER L ETRANGER.
LE SECOND ,LA BOUCHE PATEUSE ,LES PAROLES MAL ASSUREES ,D UNE VOIX RUGUEUSE ,SE MET A BRAILLER:
MOI ,LES MECS ,SI J AVAIS DE L ARGENT ,J ACHETERAI DES MAISONS PARCE QUE VOTRE BANC, IL COMMENCE A ME GONFLER.
LE TROISIEME LES ECOUTE SANS BRONCHER, IL A BIEN SON IDEE MAIS N OSE PAS LA FORMULER.
BEN ALORS !ET TOI ,SI TU AVAIS DE L ARGENT ,TU NE VEUX PAS NOUS DIRE CE QUE TU EN FERAIS?
OH MOI LES GARS, C EST TOUT SIMPLE, JE M ACHETERAI DE NOUVELLES FESSES ,C EST PAS COMPLIQUE.
LES DEUX AUTRES LE REGARDENT INTERLOQUES :ILS NE S ATTENDAIENT PAS A UNE REPONSE AUSSI INCONGRUE.
BEN OUI QUOI ,DE NOUVELLES FESSES, PARCE QUE J EN AI PLUS QUE MARRE QUE LES MIENNES SOIENT FENDUES!
LA FIN DE CETTE PETITE HISTOIRE ,C EST QUE PAUVRE OU ARGENTE, ON N EST JAMAIS AUSSI BIEN ASSIS QUE SUR SON CUL.
