
C erveau des pharaons, déchiffreur des mille
H iéroglyphes, le cours d’eau de l’immense Nil
A rbore fièrement ses monts aux cent mille
M omies, puretés aux âmes juvéniles.
P yramides des vents, mirages du désert,
O uvrez vos chambres sombres à l’œil du savant !
L’ œuvre qu’il a bâtie sur la voie linéaire,
L oin de son Lot natal est digne d’un géant.
I nsolite rêveur, ces vers, on te dédie
Ô ! Égypte tu sais à quel point on t’envie!
N ous rendras-tu un jour, notre Lotois chéri ?
Acrostiche : Hommage à notre cité Figeac
F ace à toi, mon regard dévore tes beautés
I mages d’un reflet, présent et du passé.
G rande est ton histoire, je vis à tes côtés
E nvoûtante cité tu scelles mes pensées.
A toi, Fidiacum, je veux dédier ces vers,
C hampollion j’en suis sûr déchiffrera l’envers.