A érien sur les plus hautes cimes, tu rimes !
L ’air y est si pur, le ton si haut, tu voles !.
Éternel en pensées au son des holorimes,
X ylophone des âmes au tin frivole,
Arrondi poétique, aux ondes fines,
N ulle mélodie ne clame autant les cieux !.
D onne à ce vol une ode féminine,
R êves aux doux échos aux timbres judicieux,
I déalise ce roi à la langue divine,
N aturels vers saints où plane l’esprit de Dieu !.
L ’air y est si pur, le ton si haut, tu voles !.
Éternel en pensées au son des holorimes,
X ylophone des âmes au tin frivole,
Arrondi poétique, aux ondes fines,
N ulle mélodie ne clame autant les cieux !.
D onne à ce vol une ode féminine,
R êves aux doux échos aux timbres judicieux,
I déalise ce roi à la langue divine,
N aturels vers saints où plane l’esprit de Dieu !.
Dernière édition: