Abeillus. LILASYS Médaille d'argent 8.92
Aujourd’hui en écueil. Ma vie accomplit un rituel très ancien,
Colonie d’ouvrières en vol au vent, en pure harmonie,
Un boléro symphonique de Ravel sur champs Velvétien,
Ma robe au divers velours ne vit, de jours de cérémonie.
Mes ailes caressent le temps et s’en retournent à l’essaim,
Là où votre reine fertile, protectrice du bienfait de l’homme,
Cette créature dispose de nous, à notre insu, en assassin,
Faut-il en arriver là ! Mourir épinglée en cadre au muséum ?
On distrait vos réjouissances, en pique assiette où frappe la main,
Surplomber l’atmosphère de sulfate, l’humanité au goût du crime,
Les fleurs oublient la terre, Ô pâquerettes déracinées par l’humain,
Cette vie nous lie, entre destin, ensemble pour l’enfant sans millésime.
Souhaitez notre coexistence, je meurs sans butiner le pollen en ornement,
Celui qui en matière première, l’apiculteur fait le pot de miel, le sucre,
Bienfaitrice dans ce ciel, je veux saigner dans vos veines, en raccordement,
Les saisons égarent le chemin, séjournez-vous pour la passion du lucre ?
LILASYS
Un joli poème que j'ai pris plaisir à lire des vers harmonieux malgré leur longueur une belle description d'un insecte qui nous est indispensable j'ai bien aimé
Un beau texte sur l'Abeille
Une espèce en voie de disparition de nos jours
La main de l'homme et ses pesticides leur faisant la Vie-morte
Tout ceci bien développé dans un registre poétique
Lecture pédagogique en même temps ce qui n'est pas négligeable pour le lecteur
Votre plume s'est engluée de miel avec ravissement
Un nectar de mots
Un grave problème que vous soulevez là, car la disparition des abeilles
pourrait être aussi la notre, son rôle de pollinisation est si important !
Il est plus que temps pour une prise de conscience, Merci
bel écrit, respect des consignes, de belles rimes ABAB
Consignes respectées, porte à méditer quant à l’avenir
Aujourd’hui en écueil. Ma vie accomplit un rituel très ancien,
Colonie d’ouvrières en vol au vent, en pure harmonie,
Un boléro symphonique de Ravel sur champs Velvétien,
Ma robe au divers velours ne vit, de jours de cérémonie.
Mes ailes caressent le temps et s’en retournent à l’essaim,
Là où votre reine fertile, protectrice du bienfait de l’homme,
Cette créature dispose de nous, à notre insu, en assassin,
Faut-il en arriver là ! Mourir épinglée en cadre au muséum ?
On distrait vos réjouissances, en pique assiette où frappe la main,
Surplomber l’atmosphère de sulfate, l’humanité au goût du crime,
Les fleurs oublient la terre, Ô pâquerettes déracinées par l’humain,
Cette vie nous lie, entre destin, ensemble pour l’enfant sans millésime.
Souhaitez notre coexistence, je meurs sans butiner le pollen en ornement,
Celui qui en matière première, l’apiculteur fait le pot de miel, le sucre,
Bienfaitrice dans ce ciel, je veux saigner dans vos veines, en raccordement,
Les saisons égarent le chemin, séjournez-vous pour la passion du lucre ?
LILASYS
Un joli poème que j'ai pris plaisir à lire des vers harmonieux malgré leur longueur une belle description d'un insecte qui nous est indispensable j'ai bien aimé
Un beau texte sur l'Abeille
Une espèce en voie de disparition de nos jours
La main de l'homme et ses pesticides leur faisant la Vie-morte
Tout ceci bien développé dans un registre poétique
Lecture pédagogique en même temps ce qui n'est pas négligeable pour le lecteur
Votre plume s'est engluée de miel avec ravissement
Un nectar de mots
Un grave problème que vous soulevez là, car la disparition des abeilles
pourrait être aussi la notre, son rôle de pollinisation est si important !
Il est plus que temps pour une prise de conscience, Merci
bel écrit, respect des consignes, de belles rimes ABAB
Consignes respectées, porte à méditer quant à l’avenir