Sur ta couche lentement, nos corps se réveillent.
Tendrement, coquines se font nos bouches.
Ma langue assoiffée s' immisce entre tes cuisses,
entre mes lèvres glisse, ton petit bouton d'or.
Je te sens si câline, mon corps lui, se fait plutot réglisse.
Tu vibres de plaisir et t'ouvres encore plus,
Je goutte ton eau de rose.
Puis tout devient grandiose,
quand dans ta bouche tréssaille mon vit que tu assailles.
T'en deviens chaude et plus, et de cause ne trouves plus paroles.
Ma langue te rend folle, j'en deviens plus fougueux
et t'amène haut des cieux. et moi je n'en veux que plus fort.
Le frisson monte en moi, je sens ton heureux désarroi, tes gémissements pleins de joie.
Son éminence entre en ton câlin jardin, cachant tant de secrets, tous bien emmitouflés
Après tant de remous, je suis à bout de forces.
Je sens ton élixir, tu me fais tant plaisir.
Ne pouvant plus tenir, je me laisse aller dans ta douce intimité.
De bonheur et bien-être, nous nous sommes endormis. Enivrés tous les deux, d'un amour si prisé.
Il faut que je te dise mon aimée, qu'en te sentant frémir, dans de profonds désirs,
rien ne sert de mentir, j'aime te sentir jouir.
Tendrement, coquines se font nos bouches.
Ma langue assoiffée s' immisce entre tes cuisses,
entre mes lèvres glisse, ton petit bouton d'or.
Je te sens si câline, mon corps lui, se fait plutot réglisse.
Tu vibres de plaisir et t'ouvres encore plus,
Je goutte ton eau de rose.
Puis tout devient grandiose,
quand dans ta bouche tréssaille mon vit que tu assailles.
T'en deviens chaude et plus, et de cause ne trouves plus paroles.
Ma langue te rend folle, j'en deviens plus fougueux
et t'amène haut des cieux. et moi je n'en veux que plus fort.
Le frisson monte en moi, je sens ton heureux désarroi, tes gémissements pleins de joie.
Son éminence entre en ton câlin jardin, cachant tant de secrets, tous bien emmitouflés
Après tant de remous, je suis à bout de forces.
Je sens ton élixir, tu me fais tant plaisir.
Ne pouvant plus tenir, je me laisse aller dans ta douce intimité.
De bonheur et bien-être, nous nous sommes endormis. Enivrés tous les deux, d'un amour si prisé.
Il faut que je te dise mon aimée, qu'en te sentant frémir, dans de profonds désirs,
rien ne sert de mentir, j'aime te sentir jouir.
