En espérant que tu les aimes
Avec tous leurs défauts.
Mon frère, tu devais t’appeler Thibault
Mais tu n’as jamais dormi dans ton berceau.
Je voulais te voir grandir, t’épanouir
Mais à la place je t’ai vu mourir.
Tu étais si beau, si calme
Pourquoi es tu mort sans pouvoir nous parler
Sans pouvoir exploiter les beautés de ton âme.
Mon frère, je suis vraiment désolée.
Mon cœur se puni de ne pas t’avoir à ses cotés.
Toi que j’aimais déjà tant,
Toi qui es venu au monde en silence,
Et qui es reparti dans l’instant,
N’ayant pas pu connaître l’enfance.
Je te dédie ce poème,
Je te dédie ces mots,