A l'heure où je t'écris ces mots
Tu meurs dans des marées de sanglots.
Prisonnier entre l'ombre et la lumière
Demain ils parleront de toi, comme ils parleront d'hier.
Victime de ton destin, de ton chemin,
Entouré de medecins, de tout et de rien,
Tu t'accroche à ta vie, qui n'est plus
Tu t'accroche aux cris...sur-aigües.
Il est trop tard tu le sais oui,
Ce fut un cauchemard... une vie.
Et demain, ne sera jamais plus
Ce mot derisoir que tu n'entendras plus.
Et tu te regarde partir, tu te laisse mourir,
Et tu t'en vas, loin, munit de rien,
Dans le néant, loin de tout ces gens,
Sur le seuil de ton destin, demain.
Prisonnier entre l'ombre et la lumière
Demain ils parleront de toi, comme ils parleront d'hier.
Victime de ton destin, de ton chemin,
Entouré de medecins, de tout et de rien,
Tu t'accroche à ta vie, qui n'est plus
Tu t'accroche aux cris...sur-aigües.
Il est trop tard tu le sais oui,
Ce fut un cauchemard... une vie.
Et demain, ne sera jamais plus
Ce mot derisoir que tu n'entendras plus.
Et tu te regarde partir, tu te laisse mourir,
Et tu t'en vas, loin, munit de rien,
Dans le néant, loin de tout ces gens,
Sur le seuil de ton destin, demain.