A mes amis poètes
Les vacances sont finies puis la rentrée scolaire.
Une entrée solaire, sans fautes, des horaires.
Errent des paperasses qui m’embarrassent.
Traces d’écriture et de poèmes, j’embrasse.
« Vers, corps », je m’en souviens et il me le rappelle.
Des parcelles pour des « prés hauts » se morcellent.
Je m’emmêle, mes idées sont confuses et fusent.
Une ruse pour revenir enfin sur ce sujet qui m’amuse.
Je relis petit à petit vos poèmes sur différents thèmes.
J’aime cela, ils me réconfortent pour œuvrer, même.
Moi-même, je ne peux plus me passer de cette plume.
Une enclume, certes non, si légère qu’elle m’allume.
Elle me crée tant de plaisir, fait ressortir tant d’émotions.
Tant de notions pour ne pas la lâcher, tant de créations.
Une passion qui ne lasse jamais, au contraire, m’inspire.
Un empire de pages blanches à envahir, elles respirent.
…
Frédéric Reboul
Les vacances sont finies puis la rentrée scolaire.
Une entrée solaire, sans fautes, des horaires.
Errent des paperasses qui m’embarrassent.
Traces d’écriture et de poèmes, j’embrasse.
« Vers, corps », je m’en souviens et il me le rappelle.
Des parcelles pour des « prés hauts » se morcellent.
Je m’emmêle, mes idées sont confuses et fusent.
Une ruse pour revenir enfin sur ce sujet qui m’amuse.
Je relis petit à petit vos poèmes sur différents thèmes.
J’aime cela, ils me réconfortent pour œuvrer, même.
Moi-même, je ne peux plus me passer de cette plume.
Une enclume, certes non, si légère qu’elle m’allume.
Elle me crée tant de plaisir, fait ressortir tant d’émotions.
Tant de notions pour ne pas la lâcher, tant de créations.
Une passion qui ne lasse jamais, au contraire, m’inspire.
Un empire de pages blanches à envahir, elles respirent.
…
Frédéric Reboul