Aime-moi
Le long de tes matins frileux
Avant que le jour blanchisse les campagnes
Avant que le soir ne tombe
Aime-moi
Sur le cortège de tes lèvres
Traçant le chemin avant que le jour ne se lève
Dans l'inexactitude des heures sans trèves
Aime-moi
Lorsque mon cœur
Est demandeur
A la recherche d'une brise de bonheur
Aime-moi
Que tes baisers colorent les océans
Le brasier affamé de mes lèvres arrogantes
Avant que mon corps ne porte l'empreinte du temps.
Aime-moi
Que tes caresses naviguent de plaisir
Le long de ma peau par désir
Dans l'eau encore sucrée de l’élixir
Aime-moi
Sous le ciel étoilé d'une nuit
Sur un lit où bruissent des bruits
Au pays des rêves où vivent encore les cris.
Aime-moi encore
Avant que la rosée
Ne s'évapore abandonnée
Par les premières lueurs du jour qui s'égare
Aime-moi toujours
Que mon corps abandonne
A tes lèvres, à tes mains pour l’éternité
Avant que ne se consume la vie
Laisse-moi toucher,
Te troubler du bout des doigts,
Comme un baiser sur une ville qui s'illumine
Au vent, cachant les embruns embrasés,
Aime-moi
Que mon cœur brûle
A la soif d’un baiser
sur le battements de tes lèvres
Aime-moi
Le long de tes matins frileux
Avant que le jour blanchisse les campagnes
L.Deléglise
Le long de tes matins frileux
Avant que le jour blanchisse les campagnes
Avant que le soir ne tombe
Aime-moi
Sur le cortège de tes lèvres
Traçant le chemin avant que le jour ne se lève
Dans l'inexactitude des heures sans trèves
Aime-moi
Lorsque mon cœur
Est demandeur
A la recherche d'une brise de bonheur
Aime-moi
Que tes baisers colorent les océans
Le brasier affamé de mes lèvres arrogantes
Avant que mon corps ne porte l'empreinte du temps.
Aime-moi
Que tes caresses naviguent de plaisir
Le long de ma peau par désir
Dans l'eau encore sucrée de l’élixir
Aime-moi
Sous le ciel étoilé d'une nuit
Sur un lit où bruissent des bruits
Au pays des rêves où vivent encore les cris.
Aime-moi encore
Avant que la rosée
Ne s'évapore abandonnée
Par les premières lueurs du jour qui s'égare
Aime-moi toujours
Que mon corps abandonne
A tes lèvres, à tes mains pour l’éternité
Avant que ne se consume la vie
Laisse-moi toucher,
Te troubler du bout des doigts,
Comme un baiser sur une ville qui s'illumine
Au vent, cachant les embruns embrasés,
Aime-moi
Que mon cœur brûle
A la soif d’un baiser
sur le battements de tes lèvres
Aime-moi
Le long de tes matins frileux
Avant que le jour blanchisse les campagnes
L.Deléglise