Marie,
Qu’es-tu devenue ?
Sans toi ma vie n’a plus de contenu,
Dépourvu,
Je cherche partout sans retenu.
Mes jours sont sans tenue,
Et mes larmes sont déçues,
Car leurs flots ne t’ont pas vaincue.
Je te cherche dans les rues,
Je demande à tous les inconnus,
Ma mère a disparu,
L’avez-vous aperçue ?
L’aurez-vous vue ?
Tout le monde s’est tu,
Personne ne t’a reconnue,
Tu ne t’es pas révélée aux individus,
Tu es restée méconnue.
Peut-être, es-tu convaincue,
Que j’ai su,
Que tu étais dans ce chapelet nu,
Jeté dans ce coin incongru,
Que j’ai haï au tout début,
Et que j’ai eu du mal à égrener avec rebut.
Saches-le,
Tu es toujours la mère,
Celle qui a conçu Jésus,
Et je conclus,
Que tu es ma mère,
Celle que le ciel me dût,
Depuis que je l’ai su :
Permes-moi cet entrevu,
Là où je t’ai vue,
Dans mon cœur.
Qu’es-tu devenue ?
Sans toi ma vie n’a plus de contenu,
Dépourvu,
Je cherche partout sans retenu.
Mes jours sont sans tenue,
Et mes larmes sont déçues,
Car leurs flots ne t’ont pas vaincue.
Je te cherche dans les rues,
Je demande à tous les inconnus,
Ma mère a disparu,
L’avez-vous aperçue ?
L’aurez-vous vue ?
Tout le monde s’est tu,
Personne ne t’a reconnue,
Tu ne t’es pas révélée aux individus,
Tu es restée méconnue.
Peut-être, es-tu convaincue,
Que j’ai su,
Que tu étais dans ce chapelet nu,
Jeté dans ce coin incongru,
Que j’ai haï au tout début,
Et que j’ai eu du mal à égrener avec rebut.
Saches-le,
Tu es toujours la mère,
Celle qui a conçu Jésus,
Et je conclus,
Que tu es ma mère,
Celle que le ciel me dût,
Depuis que je l’ai su :
Permes-moi cet entrevu,
Là où je t’ai vue,
Dans mon cœur.