A l’humour
Dans mon bagage de l’humour,
Celle au fluide m’amène au-delà,
J’ai beau faire toujours des fours,
Demain, encore, je serai plus bas.
Ma peur décrie mes veines,
Me glace, mais sans whisky,
En vieux, j’me déchaîne,
En premier cas sans ennui.
Où fleure bon mon jasmin,
Deviendra ma raison, ma chaîne,
Ce jour, j’me fiche de tes seins,
La renaissance est un port qui me déchaîne.
Je ne veux pas dissocier le sensuel,
Toujours, je m’efforce de ne pas reculer,
L’humour est toujours éternel,
Pour cette saison encore avancer.
Il vaut mieux être mort de rire sans vanité,
Dans un endroit ensoleillé, ou mon rêve m’emporte,
Damné ou condamné, mais encore à fêter,
Sans feu sans flamme en quelques sortes.
Dans mon bagage de l’humour,
Celle au fluide m’amène au-delà,
J’ai beau faire toujours des fours,
Demain, encore, je serai plus bas.
Ma peur décrie mes veines,
Me glace, mais sans whisky,
En vieux, j’me déchaîne,
En premier cas sans ennui.
Où fleure bon mon jasmin,
Deviendra ma raison, ma chaîne,
Ce jour, j’me fiche de tes seins,
La renaissance est un port qui me déchaîne.
Je ne veux pas dissocier le sensuel,
Toujours, je m’efforce de ne pas reculer,
L’humour est toujours éternel,
Pour cette saison encore avancer.
Il vaut mieux être mort de rire sans vanité,
Dans un endroit ensoleillé, ou mon rêve m’emporte,
Damné ou condamné, mais encore à fêter,
Sans feu sans flamme en quelques sortes.