Nous utilisons des cookies pour vous garantir la meilleure expérience sur notre site web.
Si vous continuez à utiliser ce site, nous supposerons que vous en êtes satisfait.

  • Visiteur, merci de ne pas poster plus de 5 poèmes par jour. Ceci dans le but d'améliorer la visibilité du site.

A couteaux tirés

iboujo

Maître Poète
#1
Un coeur blessé à couteaux tirés
La chevelure en bataille ,ensanglantée
Un cœur ouvert blessé, recroquevillé
Muet pendant des heures entières
Dans un coin délabré d'un monastère
Violé par une folle folie meurtrière.

Lui, qui se sentait protégé, guilleret
Pour une retraite° espérée et partagée
Un cœur traumatisé, lapidé par son passé
Braillant, hurlant, qu'avait -il donc fait
Ce cœur qui renaissait dans la complicité
Il voulait d'un vent d 'étoiles , de contrées

De prés verts , d ' émois de soleil, il rêvait
D ' îles chaleureuses aux souffles d'alizé
Il rêvait, il a trouvé l'éclair qui fracasse
D'aigres grimaces ,la peur des frissons en masse
De ses entrailles des larmes de sang
Naufragé pouvait-il lutter vraiment ?

L'hémorragie l'a tué, endeuillée par le destin figé


Recueille en marge de ma Poésie un legs "miroir"
Sur le cahier de mes nuits noires ,des lignes d'espoir
A tes soucis dirimant ravageurs, et pour te pacifier
A la gloire de tes jours , sur un sol d'une chair lénifiée
Que ton crépuscule te mène vers un feu et sa chaleur
Que la lueur de la flamme et ses rayons couchant
Fasse que leur mystère ancestral tu retouches le firmament.

°retraite ici week -end


Ps
Une scène épouvantable vécue chez un ami ,
où j'étais en week-end en 2011

son ex en furie,
et son grabuge ' meurtrier

le mot est léger!

bonjour le traumatisme
 
#2
Un coeur blessé à couteaux tirés
La chevelure en bataille ,ensanglantée
Un cœur ouvert blessé, recroquevillé
Muet pendant des heures entières
Dans un coin délabré d'un monastère
Violé par une folle folie meurtrière.

Lui, qui se sentait protégé, guilleret
Pour une retraite° espérée et partagée
Un cœur traumatisé, lapidé par son passé
Braillant, hurlant, qu'avait -il donc fait
Ce cœur qui renaissait dans la complicité
Il voulait d'un vent d 'étoiles , de contrées

De prés verts , d ' émois de soleil, il rêvait
D ' îles chaleureuses aux souffles d'alizé
Il rêvait, il a trouvé l'éclair qui fracasse
D'aigres grimaces ,la peur des frissons en masse
De ses entrailles des larmes de sang
Naufragé pouvait-il lutter vraiment ?

L'hémorragie l'a tué, endeuillée par le destin figé


Recueille en marge de ma Poésie un legs "miroir"
Sur le cahier de mes nuits noires ,des lignes d'espoir
A tes soucis dirimant ravageurs, et pour te pacifier
A la gloire de tes jours , sur un sol d'une chair lénifiée
Que ton crépuscule te mène vers un feu et sa chaleur
Que la lueur de la flamme et ses rayons couchant
Fasse que leur mystère ancestral tu retouches le firmament.

°retraite ici week -end


Ps
Une scène épouvantable vécue chez un ami ,
où j'étais en week-end en 2011

son ex en furie,
et son grabuge ' meurtrier

le mot est léger!

bonjour le traumatisme
Ceci est bien triste comment oublier, jamais...
bises
 

Polymnie2

Maître Poète
#7
L'invité témoin reçoit tout en vrac
ne pouvant qu'assister au massacre!
La démence? quand commence t'elle?
Quand finit-elle?
Avec quelle force elle s'abat sur chacun?
Un miroir que tu portes encore, sa douleur sur l'Autre
qui atteint la tienne!
Un écrit que tu devais faire, pour atténuer son relief.

Bises ma Jojo, Poly
 
#10
Une triste scène qui fait divers...
Phénomènes qui nous mènent,
Après réflexion, à de bonnes actions.
J'en suis sûr, c'est dur à écrire et vivre...

Récit lu, ressentis vécus.
Le passé est au futur, le présent...

Bises
Fred