"Étincelle vacillante, lumière en retrait - obscurité qui apparaît,
sentiment confus et le cœur qui se fragilise, un chagrin
qui refait surface, soulagement inexistant et l'espoir qui devint illusoire"
Ces mots disent plus haut, cache une vérité que moi-même, je n'aurai jamais cru voir se produire,
il y a de cela 1 an, au moment où je soufflais à peine les bougies de mon 23e anniversaire,
en coulisses s'amorçaient malgré moi, une très longue descente aux enfers,
aux files des mois suivants, mon univers tout entier s'effondrais en morceaux,
chaque petite chose à laquelle je tenais et que j'avais eu tant de misère à construire,
disparaissait dans un brasier éphémère devenant cendre et bercé par un vent funeste,
l'amour que je croyais réciproque n'était que supplice larmoyant et à sens unique ;
la confiance et les confidences données à certain, étaient détournées pour me nuire,
attaquer de toutes parts, je me sentais si seul dans cette prison agonisante,
persuader par manipulation que cette vie, ce fardeau que je portais au long
de ces années, je le méritais, que la seule issue était de s'éteindre par ce mal
qui me gangrenait et me détruisait aussi bien mentalement que physiquement,
dépendance malsaine, être où ne pas être sans elle, quel serait ma réalité
sans sa présence, je me posais ; était-ce ça la vie, vivre pour satisfaire les besoins
nocifs d'une autre personne, une époque sortie tout droit d'un cauchemar traumatisant ;
l'insomnie me gagnait et ma joie de vivre n'était devenu qu'un fantasme que je me racontais
tard le soir pour me consoler et me donner le courage d'y croire encore en ce rêve utopique,
mais..
J'extrapolais seulement mes désirs et non les siens, pour elle s'était déjà la fin
jeter sur le bord du chemin, le doute et la crainte me poussèrent vers le néant,
elle me quitta finalement pour un autre et en même temps au phi de cette trahison
cela m'enlevait plutôt un poids sur les épaules, qui m'amenait tout doucement
vers l'oubli.
Rupture, dépression et une première peine d'amour ont fait surface et un besoin
presque maladif d'étouffer ce vide qui s'était créé depuis son départ savait manifester
et me rongeais, me terrifiait durant ses premiers instants de solitude, un réel tourment,
un changement à mon détriment, mais cela m'a procuré les clés de cette porte qui était
jusqu'à la verrouiller sous un tas de mensonges et de fausses illusions de bonheur,
je voguais entre un haut et un bas, une dégringolade persistante, enivrante d'alcool,
de faux-semblant plongeant de plus en plus vers le fond des abîmes;
apitoiement constant rien dans mon comportement ne laissait croire que je voulais
aller mieux, que je désirais vaincre ce mal qui m'avait envahi et tant démunie.
Goutte après goutte dégoulinant de mes joues, soirée tapis au fond du gouffre,
mes yeux irrités par mes séances quotidiennes désespérantes et de mes crises
d'anxiété répétée, j'ai pleuré, crié, et même prié qu'on me délivre de cette douleur
poignante qui m'éclatait la poitrine. Je méprisais l'aide des gens, leur sourire
qui m'effleurait le visage, me dégoûtais totalement et finalement une tentative
désespérer en trop, me faisant débarquer à l'hôpital directement, peur au ventre,
fort sentiment de culpabilité me prend, les regards des autres, la tristesse environnante
et cette atmosphère asphyxiante, m'ont ouvert à ce monde, à ce sentiment étrange
de compter pour ces gens, ma famille, mes amis, mon réellement sauver la vie…
Un comprimé à la fois, ma joie qui revient tranquillement, pessimiste de nature,
dure de voir le verre à moitié plein, au début, je me forçais pour ne plus les décevoir,
je me suis fait avoir, j'ai fini par vouloir y croire, désormais ces moments plus sombres
et plus tristes se font de plus en plus rares, un jour à la fois, m'approche de la sortie
de ce long tunnel si sombre, mais qui m'a permis de prendre conscience de qui je suis
et de qui je veux devenir, 1 an, un cheminement ; qui m'a conduit à une quête de soi
qui m'a fait comprendre que personne ne mérite de souffrir éternellement ; aujourd'hui,
j'ai 24 ans et je suis encore vivant et je me laisse penser que j'aimerais consolider
ce parcours accompli, j'espère, finirais-je peut-être par sourire avec sincérité sans un rictus,
pour cacher ma détresse accumuler. Donc je tiens à me souhaiter un premier ; bonne fête,
pour ces 24 années d'existence.
"Scintillement discret, lumière qui apparaît - obscurité en retrait,
sentiment léger et le cœur qui panse ses plaies du chagrin passé,
soulagement temporaire ou signe d'espoir, néanmoins un moment
de plénitude qui fait du bien au moral.''
Blue.
sentiment confus et le cœur qui se fragilise, un chagrin
qui refait surface, soulagement inexistant et l'espoir qui devint illusoire"
Ces mots disent plus haut, cache une vérité que moi-même, je n'aurai jamais cru voir se produire,
il y a de cela 1 an, au moment où je soufflais à peine les bougies de mon 23e anniversaire,
en coulisses s'amorçaient malgré moi, une très longue descente aux enfers,
aux files des mois suivants, mon univers tout entier s'effondrais en morceaux,
chaque petite chose à laquelle je tenais et que j'avais eu tant de misère à construire,
disparaissait dans un brasier éphémère devenant cendre et bercé par un vent funeste,
l'amour que je croyais réciproque n'était que supplice larmoyant et à sens unique ;
la confiance et les confidences données à certain, étaient détournées pour me nuire,
attaquer de toutes parts, je me sentais si seul dans cette prison agonisante,
persuader par manipulation que cette vie, ce fardeau que je portais au long
de ces années, je le méritais, que la seule issue était de s'éteindre par ce mal
qui me gangrenait et me détruisait aussi bien mentalement que physiquement,
dépendance malsaine, être où ne pas être sans elle, quel serait ma réalité
sans sa présence, je me posais ; était-ce ça la vie, vivre pour satisfaire les besoins
nocifs d'une autre personne, une époque sortie tout droit d'un cauchemar traumatisant ;
l'insomnie me gagnait et ma joie de vivre n'était devenu qu'un fantasme que je me racontais
tard le soir pour me consoler et me donner le courage d'y croire encore en ce rêve utopique,
mais..
J'extrapolais seulement mes désirs et non les siens, pour elle s'était déjà la fin
jeter sur le bord du chemin, le doute et la crainte me poussèrent vers le néant,
elle me quitta finalement pour un autre et en même temps au phi de cette trahison
cela m'enlevait plutôt un poids sur les épaules, qui m'amenait tout doucement
vers l'oubli.
Rupture, dépression et une première peine d'amour ont fait surface et un besoin
presque maladif d'étouffer ce vide qui s'était créé depuis son départ savait manifester
et me rongeais, me terrifiait durant ses premiers instants de solitude, un réel tourment,
un changement à mon détriment, mais cela m'a procuré les clés de cette porte qui était
jusqu'à la verrouiller sous un tas de mensonges et de fausses illusions de bonheur,
je voguais entre un haut et un bas, une dégringolade persistante, enivrante d'alcool,
de faux-semblant plongeant de plus en plus vers le fond des abîmes;
apitoiement constant rien dans mon comportement ne laissait croire que je voulais
aller mieux, que je désirais vaincre ce mal qui m'avait envahi et tant démunie.
Goutte après goutte dégoulinant de mes joues, soirée tapis au fond du gouffre,
mes yeux irrités par mes séances quotidiennes désespérantes et de mes crises
d'anxiété répétée, j'ai pleuré, crié, et même prié qu'on me délivre de cette douleur
poignante qui m'éclatait la poitrine. Je méprisais l'aide des gens, leur sourire
qui m'effleurait le visage, me dégoûtais totalement et finalement une tentative
désespérer en trop, me faisant débarquer à l'hôpital directement, peur au ventre,
fort sentiment de culpabilité me prend, les regards des autres, la tristesse environnante
et cette atmosphère asphyxiante, m'ont ouvert à ce monde, à ce sentiment étrange
de compter pour ces gens, ma famille, mes amis, mon réellement sauver la vie…
Un comprimé à la fois, ma joie qui revient tranquillement, pessimiste de nature,
dure de voir le verre à moitié plein, au début, je me forçais pour ne plus les décevoir,
je me suis fait avoir, j'ai fini par vouloir y croire, désormais ces moments plus sombres
et plus tristes se font de plus en plus rares, un jour à la fois, m'approche de la sortie
de ce long tunnel si sombre, mais qui m'a permis de prendre conscience de qui je suis
et de qui je veux devenir, 1 an, un cheminement ; qui m'a conduit à une quête de soi
qui m'a fait comprendre que personne ne mérite de souffrir éternellement ; aujourd'hui,
j'ai 24 ans et je suis encore vivant et je me laisse penser que j'aimerais consolider
ce parcours accompli, j'espère, finirais-je peut-être par sourire avec sincérité sans un rictus,
pour cacher ma détresse accumuler. Donc je tiens à me souhaiter un premier ; bonne fête,
pour ces 24 années d'existence.
"Scintillement discret, lumière qui apparaît - obscurité en retrait,
sentiment léger et le cœur qui panse ses plaies du chagrin passé,
soulagement temporaire ou signe d'espoir, néanmoins un moment
de plénitude qui fait du bien au moral.''
Blue.