Poète, à trop vouloir, tu écorches, la femme.
En faisant de cet or son éternelle étude
Le poète toujours, à cet effet hélas,
Alimente le fruit de cet abîme las
Nommé expressément, humaine solitude,
Et ce joli malheur, fait de ses habitudes
Ce qu'il cite d'amour comme étant l'aléa
Ce qu'une rose, enfin, dirait-on suppléa
À la belle raison des simples hébétudes,
Ne cherche pas, l'ivresse à ce bel opium
Qui n'a besoin de toi, pour être l'hélium
Du ciel d'untel, la fleur, d'une autre merveille,
À vouloir ce bijou pour l'idéaliser
La façonner ainsi, d'une ligne vermeille
D'elles, tu te fais pair, sachant seule exister...
Daniel beau le poète rêveur
02 juillet 2024
Inknotpad
Google Chrome
15:51
En faisant de cet or son éternelle étude
Le poète toujours, à cet effet hélas,
Alimente le fruit de cet abîme las
Nommé expressément, humaine solitude,
Et ce joli malheur, fait de ses habitudes
Ce qu'il cite d'amour comme étant l'aléa
Ce qu'une rose, enfin, dirait-on suppléa
À la belle raison des simples hébétudes,
Ne cherche pas, l'ivresse à ce bel opium
Qui n'a besoin de toi, pour être l'hélium
Du ciel d'untel, la fleur, d'une autre merveille,
À vouloir ce bijou pour l'idéaliser
La façonner ainsi, d'une ligne vermeille
D'elles, tu te fais pair, sachant seule exister...
Daniel beau le poète rêveur
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