J'ai tellement de choses à dire,
Plus aucune ne veut sortir.
Je suis là mais pas tellement,
J'aurais dû éclater avant.
Car à présent c'est vraiment pire
Et ça ne me fait pas sourire.
C'est vrai je n'en veux à personne,
C'est juste qu'en moi ça résonne.
Je te vois passer devant moi,
Et mon moral tombe au plus bas.
Et c'est là que tu pars tout seul,
Et moi je reste sur le seuil.
Quand je t'ai vu partir si loin,
Je ne me suis pas sentie bien.
Oui je voulais t'accompagner,
Pour ne plus jamais te quitter.
Mais pour ainsi dire j'ai fui,
Et mon cours d'euro j'ai appris.
Pourtant le coeur n'y était pas,
Car je pensais sans cesse à toi
Et même en ce doux lendemain,
Ce souvenir frai me maintient,
Dans cette prison qu'est l'esprit,
Même si encore je ris.
Plus aucune ne veut sortir.
Je suis là mais pas tellement,
J'aurais dû éclater avant.
Car à présent c'est vraiment pire
Et ça ne me fait pas sourire.
C'est vrai je n'en veux à personne,
C'est juste qu'en moi ça résonne.
Je te vois passer devant moi,
Et mon moral tombe au plus bas.
Et c'est là que tu pars tout seul,
Et moi je reste sur le seuil.
Quand je t'ai vu partir si loin,
Je ne me suis pas sentie bien.
Oui je voulais t'accompagner,
Pour ne plus jamais te quitter.
Mais pour ainsi dire j'ai fui,
Et mon cours d'euro j'ai appris.
Pourtant le coeur n'y était pas,
Car je pensais sans cesse à toi
Et même en ce doux lendemain,
Ce souvenir frai me maintient,
Dans cette prison qu'est l'esprit,
Même si encore je ris.
Ce poème n'est plus d'actuallité,
Je n'ai plus à y penser.
Je n'ai plus à y penser.