Échos d’Été
Intro :
Sous l'ardoise du ciel d’été, errante, je déambulais,
Où les soleils se faisaient pinceaux et caressaient ma peau d'or,
Tel un astre tendre, il m'a effleurée comme l'onde caresse la rive,
Cueillant mon être tel un pétale frémissant aux aurores.
Il a essuyé mes tempêtes intérieures.
Redécouvrant, dans mes larmes désertées, l'éclat de l'espérance,
Un instant suspendu où la douleur se fondait à l’extase du renouveau.
Couplet 1 :
Une douce ourse de passion m’a enveloppée,
Me guidant vers ton univers, vaste et mystérieux,
Où chaque battement de cœur résonne tel un écho dans la montagne,
Avec toi, je rêve d’un voyage où le temps se suspend,
Nos mains entremêlées comme les racines d’un arbre millénaire,
Nos regards complices décryptant l’infini secret de l’univers.
Refrain :
Il a suffi d’un frisson chromatique dans nos yeux pour tout deviner.
Malgré les vents contraires de mon passé, tu as peint mon sourire,
À travers toi, j’ai appris à aimer, à rêver, à substrater le désir,
Comme un alchimiste, tu as opéré ta magie en me séduisant en un souffle,
Et sans résistance, j’ai plongé dans ce labyrinthe lumineux,
Où, irrésistiblement, nous nous sommes égarés dans ce jeu audacieux.
Couplet 2 :
Sans que le sablier du destin n’ait prédit ce ballet,
Sous le firmament de cet été infini, j’aurais voulu rêver,
Plonger mon regard dans le gouffre scintillant de ton âme et m’y perdre,
Dans l’étreinte de tes bras, voyager vers le paradis d’une utopie dorée,
Mais le destin, ce marbré capricieux, vient parfois sculpter l’harmonie,
Nous rappelant que l’amour est une aventure d’audace, un pari imprévisible.
Couplet 3 :
Il a suffi d’un scintillement dans nos prunelles pour deviner l’essence.
Même lorsque les ombres du chagrin tentaient d’obscurcir nos jours,
Toi, le magicien de mon univers, as insufflé une aube nouvelle à mon cœur,
Transformant chaque instant en une symphonie de désirs et de rêves,
Tel un sortilège tendre, tu as captivé mon être en un éclair,
Et dans ce tourbillon incandescent, nous nous sommes abandonnés sans retour.
Refrain :
Il a suffi d’un frisson chromatique dans nos yeux pour tout deviner,
Malgré les vents contraires de mon passé, tu as peint mon sourire,
À travers toi, j’ai appris à aimer, à rêver, à substrater le désir,
Comme un alchimiste, tu as opéré ta magie en me séduisant en un souffle,
Et sans résistance, j’ai plongé dans ce labyrinthe lumineux,
Où, irrésistiblement, nous nous sommes égarés dans ce jeu audacieux.
Pont :
Dès que nos destins se sont effleurés,
Comme deux univers en collision dans la douceur du crépuscule,
Une flamme insaisissable a parié sur nos cœurs, brillant d’un feu inspiré.
Couplet 4 :
Dans le murmure éthéré d’un souffle incertain,
Ton absence grave une mélodie sur le parchemin de mes chemins,
Pourtant, malgré le givre d’un adieu muet,
L’écho brûlant d’une passion persiste, précieux cristal,
Même séparés, nos cœurs gardent l’empreinte d’une étincelle éternelle,
Celui d’un amour défiant le temps, défiant la nuit et ses orages.
Refrain :
Il a suffi du reflet d’un regard pour tout dévoiler,
Malgré les orages intérieurs, tu as su ranimer la lumière en moi,
À travers l’invisible, j’ai appris à aimer, à rêver et à nourrir mes désirs,
Dans la danse rapide des étoiles, tu m’as envoûtée d’un souffle enivrant,
Et sans peur ni détour, mes sentiments se sont fondus en ton être,
Dans cette aventure audacieuse où nous avons tout laissé glisser.
Couplet 5:
Je ne saurais refuser l'air de tes soupirs inassouvis,
Car en toi réside l'unique source de mon enivrante vie,
Chaque pulsation de nos cœurs se fait l'écho d'une légende gravée,
Ton regard, véritable boussole, conduit mes pas vers des mondes nouveaux,
Mon corps, mon cœur, mon âme se livrent dans cette odyssée céleste,
Et grâce à toi, tout en moi s'allume comme l'aube d'un renouveau infini.
Refrain :
Il a suffi des éclats mystiques de nos prunelles pour tout entendre,
Même lorsque le passé tentait d'éteindre l'éclat de nos jours,
À travers l’invisible, j’ai appris à aimer, à rêver et à nourrir mes désirs,
Tu as su ranimer le sourire aux contours d’un rêve éveillé,
M'offrant l'alchimie d'un amour et les nuances d'un désir vibrant,
Tel un souffle de magie, tu m’as envoûtée avec une douceur inouïe,
Et, inévitablement, nous avons plongé dans ce jeu de lumière éternelle.
Pont :
Dès l’instant où nos âmes se sont frôlées,
Comme deux vagues se mêlant sur l’océan de l’existence,
La lumière de nos regards a dansé, dessinant une route de fiançailles.
Final :
Dans le silence profond de la nuit, nos esprits se fondent,
Les échos flamboyants d’un été se transforment en légende,
Même si le temps emporte délicatement la douceur de nos instants,
La lueur immortelle de nos regards restera, comme un rêve, à jamais.
Intro :
Sous l'ardoise du ciel d’été, errante, je déambulais,
Où les soleils se faisaient pinceaux et caressaient ma peau d'or,
Tel un astre tendre, il m'a effleurée comme l'onde caresse la rive,
Cueillant mon être tel un pétale frémissant aux aurores.
Il a essuyé mes tempêtes intérieures.
Redécouvrant, dans mes larmes désertées, l'éclat de l'espérance,
Un instant suspendu où la douleur se fondait à l’extase du renouveau.
Couplet 1 :
Une douce ourse de passion m’a enveloppée,
Me guidant vers ton univers, vaste et mystérieux,
Où chaque battement de cœur résonne tel un écho dans la montagne,
Avec toi, je rêve d’un voyage où le temps se suspend,
Nos mains entremêlées comme les racines d’un arbre millénaire,
Nos regards complices décryptant l’infini secret de l’univers.
Refrain :
Il a suffi d’un frisson chromatique dans nos yeux pour tout deviner.
Malgré les vents contraires de mon passé, tu as peint mon sourire,
À travers toi, j’ai appris à aimer, à rêver, à substrater le désir,
Comme un alchimiste, tu as opéré ta magie en me séduisant en un souffle,
Et sans résistance, j’ai plongé dans ce labyrinthe lumineux,
Où, irrésistiblement, nous nous sommes égarés dans ce jeu audacieux.
Couplet 2 :
Sans que le sablier du destin n’ait prédit ce ballet,
Sous le firmament de cet été infini, j’aurais voulu rêver,
Plonger mon regard dans le gouffre scintillant de ton âme et m’y perdre,
Dans l’étreinte de tes bras, voyager vers le paradis d’une utopie dorée,
Mais le destin, ce marbré capricieux, vient parfois sculpter l’harmonie,
Nous rappelant que l’amour est une aventure d’audace, un pari imprévisible.
Couplet 3 :
Il a suffi d’un scintillement dans nos prunelles pour deviner l’essence.
Même lorsque les ombres du chagrin tentaient d’obscurcir nos jours,
Toi, le magicien de mon univers, as insufflé une aube nouvelle à mon cœur,
Transformant chaque instant en une symphonie de désirs et de rêves,
Tel un sortilège tendre, tu as captivé mon être en un éclair,
Et dans ce tourbillon incandescent, nous nous sommes abandonnés sans retour.
Refrain :
Il a suffi d’un frisson chromatique dans nos yeux pour tout deviner,
Malgré les vents contraires de mon passé, tu as peint mon sourire,
À travers toi, j’ai appris à aimer, à rêver, à substrater le désir,
Comme un alchimiste, tu as opéré ta magie en me séduisant en un souffle,
Et sans résistance, j’ai plongé dans ce labyrinthe lumineux,
Où, irrésistiblement, nous nous sommes égarés dans ce jeu audacieux.
Pont :
Dès que nos destins se sont effleurés,
Comme deux univers en collision dans la douceur du crépuscule,
Une flamme insaisissable a parié sur nos cœurs, brillant d’un feu inspiré.
Couplet 4 :
Dans le murmure éthéré d’un souffle incertain,
Ton absence grave une mélodie sur le parchemin de mes chemins,
Pourtant, malgré le givre d’un adieu muet,
L’écho brûlant d’une passion persiste, précieux cristal,
Même séparés, nos cœurs gardent l’empreinte d’une étincelle éternelle,
Celui d’un amour défiant le temps, défiant la nuit et ses orages.
Refrain :
Il a suffi du reflet d’un regard pour tout dévoiler,
Malgré les orages intérieurs, tu as su ranimer la lumière en moi,
À travers l’invisible, j’ai appris à aimer, à rêver et à nourrir mes désirs,
Dans la danse rapide des étoiles, tu m’as envoûtée d’un souffle enivrant,
Et sans peur ni détour, mes sentiments se sont fondus en ton être,
Dans cette aventure audacieuse où nous avons tout laissé glisser.
Couplet 5:
Je ne saurais refuser l'air de tes soupirs inassouvis,
Car en toi réside l'unique source de mon enivrante vie,
Chaque pulsation de nos cœurs se fait l'écho d'une légende gravée,
Ton regard, véritable boussole, conduit mes pas vers des mondes nouveaux,
Mon corps, mon cœur, mon âme se livrent dans cette odyssée céleste,
Et grâce à toi, tout en moi s'allume comme l'aube d'un renouveau infini.
Refrain :
Il a suffi des éclats mystiques de nos prunelles pour tout entendre,
Même lorsque le passé tentait d'éteindre l'éclat de nos jours,
À travers l’invisible, j’ai appris à aimer, à rêver et à nourrir mes désirs,
Tu as su ranimer le sourire aux contours d’un rêve éveillé,
M'offrant l'alchimie d'un amour et les nuances d'un désir vibrant,
Tel un souffle de magie, tu m’as envoûtée avec une douceur inouïe,
Et, inévitablement, nous avons plongé dans ce jeu de lumière éternelle.
Pont :
Dès l’instant où nos âmes se sont frôlées,
Comme deux vagues se mêlant sur l’océan de l’existence,
La lumière de nos regards a dansé, dessinant une route de fiançailles.
Final :
Dans le silence profond de la nuit, nos esprits se fondent,
Les échos flamboyants d’un été se transforment en légende,
Même si le temps emporte délicatement la douceur de nos instants,
La lueur immortelle de nos regards restera, comme un rêve, à jamais.