Ébranlements et autres rectifications.
On a de repères que la vie du soleil, le réveil d'un immature
Ô mains efficaces entre les rires arrachés, de nos corps essoufflés
Le monde s'enrage et jalouse l'astre lunaire quand il voit en un jour mes doigts se jouer,
de votre humble déchirure, volcan de l'antique césure, au goût sucré de l'amer
L'ivresse ardue en mon organe résonne,
le chant velu de votre losange blotti en cet automne
De vos fines lippes et sensuels cils, ma sénestre plume goûte vos écumes,
entre vos orbites glissants, Ô thoracique désir du mucus gisant près des iliaques flots
en mon dépouillement cadavérique, j'hume l'hydrorrhée de vos entrailles coutumes,
fumerons noeuds que ma bouche exalte, laissant griser nos âmes entre soupirs et haros
Ectoplasme d'ouverture sublimée, pâmoison de l'enchevêtrement de nos régiments,
Soudainement, l'imbrication de nos parcelles intimes, devient annales des chroniques nocturnes
Qu'il me devient impossible de retenir dans la solitude infernale de nos errements
non loin du bourbon et de l'alcool salace, me rapprochant fumée dans l'urne,
de vos présents complices en lesquels j'aimerais me retrouver avec délice
Ivresse de nuit.
On a de repères que la vie du soleil, le réveil d'un immature
Ô mains efficaces entre les rires arrachés, de nos corps essoufflés
Le monde s'enrage et jalouse l'astre lunaire quand il voit en un jour mes doigts se jouer,
de votre humble déchirure, volcan de l'antique césure, au goût sucré de l'amer
L'ivresse ardue en mon organe résonne,
le chant velu de votre losange blotti en cet automne
- « Contre mon ithyphalle, j'aimerais poursuivre les nuits,
De vos fines lippes et sensuels cils, ma sénestre plume goûte vos écumes,
entre vos orbites glissants, Ô thoracique désir du mucus gisant près des iliaques flots
en mon dépouillement cadavérique, j'hume l'hydrorrhée de vos entrailles coutumes,
fumerons noeuds que ma bouche exalte, laissant griser nos âmes entre soupirs et haros
Ectoplasme d'ouverture sublimée, pâmoison de l'enchevêtrement de nos régiments,
Soudainement, l'imbrication de nos parcelles intimes, devient annales des chroniques nocturnes
Qu'il me devient impossible de retenir dans la solitude infernale de nos errements
non loin du bourbon et de l'alcool salace, me rapprochant fumée dans l'urne,
de vos présents complices en lesquels j'aimerais me retrouver avec délice
Ivresse de nuit.