(Attention! peut impressionner)
Hors concours
Âmes et tempête...
Sur la falaise, j'assiste impuissante, à la tempête d'âmes en perditions.
Elles râlent...prisonnières de ce bel élément primal, maître de toute vie.
Je les entends gémir, appeler au secours, demandant leurs absolutions,
Rien ne pourra changer le cours des choses, leur souffrance est infinie...
Leur bateau vient d'épouser l'océan, par le chant des sirènes, fut attiré,
Mené vers les écueils acérés, explosant de toutes parts en haute gerbe.
Le combat fut titanesque, sans appel, en eaux troubles elles ont sombré.
Elles dérivent, se délestent de leurs corps ayant perdu de leur superbe.
Autour d'elles, les vagues se déchaînent et défient les cieux assombris...
Emportées par un tourbillon sans fin, pareil à un gigantesque cyclone.
J'imagine leurs suppliques, leur désespoir, je n'entends plus leurs cris.
Je voudrais leur porter secours, mais atterrée, ma bouche est aphone.
Les forces aquatiques semblent s'être données rendez-vous en cet enfer,
Seules des prières occupent mes pensées, afin que ce monstre les libère.
La voûte céleste porte le deuil de pauvres âmes tourmentées par Lucifer
Déployant ses filets noirs jusques aux abysses, insensible à leur misère.
Je les imagine telles feuilles mortes inanimées entraînées par les marées,
Enfin, légères et apaisées montant vers leur créateur ouvrant les portes
D'un monde idyllique où fleuriraient, amour, beauté, joyeux hyménées,
Paradis illuminé d'aurores boréales, d'arcs-en-ciel et, anges en escortes.
Tempête des âmes, âmes en tempête, tout se rejoint au monde originel,
Se confond, se régénère, c'est un mystère portant en lui le secret de la vie.
Se réincarneront-elles pour achever une mission que leur intima l'éternel
En l'immémorial ? s'envoleront elles une fois cette dernière accomplie ?
Sur la falaise, j'assiste impuissante, à la tempête d'âmes en perditions.
Elles râlent...prisonnières de ce bel élément primal, maître de toute vie.
Je les entends gémir, appeler au secours, demandant leurs absolutions,
Rien ne pourra changer le cours des choses, leur souffrance est infinie...
Leur bateau vient d'épouser l'océan, par le chant des sirènes, fut attiré,
Mené vers les écueils acérés, explosant de toutes parts en haute gerbe.
Le combat fut titanesque, sans appel, en eaux troubles elles ont sombré.
Elles dérivent, se délestent de leurs corps ayant perdu de leur superbe.
Autour d'elles, les vagues se déchaînent et défient les cieux assombris...
Emportées par un tourbillon sans fin, pareil à un gigantesque cyclone.
J'imagine leurs suppliques, leur désespoir, je n'entends plus leurs cris.
Je voudrais leur porter secours, mais atterrée, ma bouche est aphone.
Les forces aquatiques semblent s'être données rendez-vous en cet enfer,
Seules des prières occupent mes pensées, afin que ce monstre les libère.
La voûte céleste porte le deuil de pauvres âmes tourmentées par Lucifer
Déployant ses filets noirs jusques aux abysses, insensible à leur misère.
Je les imagine telles feuilles mortes inanimées entraînées par les marées,
Enfin, légères et apaisées montant vers leur créateur ouvrant les portes
D'un monde idyllique où fleuriraient, amour, beauté, joyeux hyménées,
Paradis illuminé d'aurores boréales, d'arcs-en-ciel et, anges en escortes.
Tempête des âmes, âmes en tempête, tout se rejoint au monde originel,
Se confond, se régénère, c'est un mystère portant en lui le secret de la vie.
Se réincarneront-elles pour achever une mission que leur intima l'éternel
En l'immémorial ? s'envoleront elles une fois cette dernière accomplie ?
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