À mains nues
Viens tel un goéland, voyager dans les nues
En dessinant l’amour sur l’immense tableau bleu,
Au grand clair de lune, dans mon cœur éperdu,
Semer des étoiles tout au fond de mes yeux.
En dessinant l’amour sur l’immense tableau bleu,
Au grand clair de lune, dans mon cœur éperdu,
Semer des étoiles tout au fond de mes yeux.
Murmurer dans ma nuit une plainte endormie
Au rythme de ton cœur, qui souffle sur mon âme,
Des odeurs de santal au feu d’une bougie
Dans l’écueil de mon rêve en quête de ta flamme.
Au rythme de ton cœur, qui souffle sur mon âme,
Des odeurs de santal au feu d’une bougie
Dans l’écueil de mon rêve en quête de ta flamme.
Me bruler de clarté, d’un vertige éternel
Toi ! Mon si clair espoir, aux éclats de lumière
Prendre le vent dans tes bras, et ouvrir tes ailes,
En prenant ton envol et survolant les mers.
Car tous mes sentiments, tanguent sur l’océan
Dans un bassin d’ivresse aux éternels soupirs
Flottent sur l’écume, dans les échos du temps,
Chevauchant les marées, les torrents en délire.
Au couchant de la nuit, les cueillir tendrement,
Dans un doux bruissement, perché sur mon visage,
T’épancher un instant, t’endormir en mon flanc
À mains nues rêvassant alangui sur la plage.
Toi ! Mon si clair espoir, aux éclats de lumière
Prendre le vent dans tes bras, et ouvrir tes ailes,
En prenant ton envol et survolant les mers.
Car tous mes sentiments, tanguent sur l’océan
Dans un bassin d’ivresse aux éternels soupirs
Flottent sur l’écume, dans les échos du temps,
Chevauchant les marées, les torrents en délire.
Au couchant de la nuit, les cueillir tendrement,
Dans un doux bruissement, perché sur mon visage,
T’épancher un instant, t’endormir en mon flanc
À mains nues rêvassant alangui sur la plage.
Katy-Ann