À la croisée des rives
J’ai habité son cœur en caressant son âme
J’y ai vu la douleur, couchée sur sa pudeur
La lumière éteinte sur le pli de son cœur
Noyé dans son chagrin de clarté qu’il réclame.
Vers lui je voguerais sur un radeau sans rame
De mon cœur en bulle lui donner ma douceur
D’une pluie de baisers, endormir sa douleur
Contre sa paupière me lier à son âme.
J’irais fendant la bise, au delà des rivières
Habiter son espace au vent de mon soleil
Quand ses pleurs déferlent, les sécher au réveil
Et sur son front courbé profiler la lumière.
Quand son ombre miroite, et erre dans ma tour
Serpente sur mes murs, balaie comme une plume
Sa larme qui se meurt dans le vent et l’écume
En perles de rosées dans les rayons du jour.
Mais je n’ai que mon pas, du velours dans les yeux
Et mes mains enlacées deux silhouettes éprises
Qui vers lui se tendront à la croisée des rives
Sous le temple d’azur toucher le merveilleux.
Katy-Ann .
J’ai habité son cœur en caressant son âme
J’y ai vu la douleur, couchée sur sa pudeur
La lumière éteinte sur le pli de son cœur
Noyé dans son chagrin de clarté qu’il réclame.
Vers lui je voguerais sur un radeau sans rame
De mon cœur en bulle lui donner ma douceur
D’une pluie de baisers, endormir sa douleur
Contre sa paupière me lier à son âme.
J’irais fendant la bise, au delà des rivières
Habiter son espace au vent de mon soleil
Quand ses pleurs déferlent, les sécher au réveil
Et sur son front courbé profiler la lumière.
Quand son ombre miroite, et erre dans ma tour
Serpente sur mes murs, balaie comme une plume
Sa larme qui se meurt dans le vent et l’écume
En perles de rosées dans les rayons du jour.
Mais je n’ai que mon pas, du velours dans les yeux
Et mes mains enlacées deux silhouettes éprises
Qui vers lui se tendront à la croisée des rives
Sous le temple d’azur toucher le merveilleux.
Katy-Ann .