Père rien ne réside en Hier,
Comment n’as-tu vue pas la mer de mère ?
Et la marne de la meulière ?
Père, mon sourire ne gouverne plus l’allure de l’air,
Je voudrais tant retrouver la gaité d’hier,
Qui ne peux que vous plaire, (…),
Reluire votre beau désert,
Détruire la fermeté de pierres ,
L’élan s’échappe en ravissement, .
Il n’ya ni lyrismes, ni soulèvements ,
Ni empressement
Et ni triomphes,
Dans ce désarroi outrances ,
Car vous et moi seront des restes indigence,
Délaissés auprès des vies reclus sens après sens,
Et leurs esprits apprêt sentier de craintes et de défiances
Cœurs sur cœurs défiants leurs maigre conscience (…).
Père,
La bataille n’est plus de ma taille,
De peurs, mon cœur ce chemin de fer,
Se retrouve coincé entre milles rails,
Père,
Vous me diriez « qu’il n’y a ni craintes de la faille »,
Son apparence m’effroi père et m’enfonce,
Je ne puis remonter vaincre ma moitié,
Élancer encore et encore ma lance,
Saisir et préparer mon combat mêlé,
Père,
S’est arrêté un nuage profond devant mes yeux,
Et la séparation soudaine ne quitta plus mes cieux,
Père, Au cœur si beau, aimant la route avant tout,
Prières à l’abri, au repos, au répit de nous ,
Et prières alloués à ceux aux cœurs anciens et beaux,
Zra17.
Comment n’as-tu vue pas la mer de mère ?
Et la marne de la meulière ?
Père, mon sourire ne gouverne plus l’allure de l’air,
Je voudrais tant retrouver la gaité d’hier,
Qui ne peux que vous plaire, (…),
Reluire votre beau désert,
Détruire la fermeté de pierres ,
L’élan s’échappe en ravissement, .
Il n’ya ni lyrismes, ni soulèvements ,
Ni empressement
Et ni triomphes,
Dans ce désarroi outrances ,
Car vous et moi seront des restes indigence,
Délaissés auprès des vies reclus sens après sens,
Et leurs esprits apprêt sentier de craintes et de défiances
Cœurs sur cœurs défiants leurs maigre conscience (…).
Père,
La bataille n’est plus de ma taille,
De peurs, mon cœur ce chemin de fer,
Se retrouve coincé entre milles rails,
Père,
Vous me diriez « qu’il n’y a ni craintes de la faille »,
Son apparence m’effroi père et m’enfonce,
Je ne puis remonter vaincre ma moitié,
Élancer encore et encore ma lance,
Saisir et préparer mon combat mêlé,
Père,
S’est arrêté un nuage profond devant mes yeux,
Et la séparation soudaine ne quitta plus mes cieux,
Père, Au cœur si beau, aimant la route avant tout,
Prières à l’abri, au repos, au répit de nous ,
Et prières alloués à ceux aux cœurs anciens et beaux,
Zra17.
Dernière édition: