Des promesses en l’air Des pierres jetées par terre Tout est loin de la mer Il ne faut surtout pas la déranger Car elle s’éloigne de son atmosphère Que dois-je faire ? Parcourir son cœur ? Il a le goût d’amer Je l’appellerais A travers mon poème « Monsieur tout le monde » Qui s’inquiète de son affaire Et adore couper la moitié des fleurs Attention ! C’est un brave parleur Son regard d’olive noir Bouleverse vos cheveux en couleurs Quoi que vous fassiez Vous ne pourriez pas Changer son vocabulaire Les mots pour lui Sont sans Valeur « Monsieur tout le monde » Profite du silence Où chaque jour Il transmet le mal d’aimer Et joue son rôle à merveille Il vous offre son bras Pour apaiser votre peine Si je pouvais Je lui céderais le prix Nobel Du Brave chasseur des petits cœurs Et puis On se perd dans un carrefour Mais ne pense pas que je t’aimerais toujours. Certes que les années ont passé Ne me laisse pas croiser ton regard Je ne veux pas revenir Ni même Revisiter cette horrible saveur. « Monsieur tout le monde » Excuse la symphonie de ma jeunesse Excuse mon honnêteté Mais N’excuse surtout pas si je pardonne ou si je me venge Hélas ! Je ne suis pas cette femme Qui doit choisir entre les deux C’est décidé aucune d’entre elles ; Ne m’excuse pas… Sache que rien n’efface les douleurs d’hier J’ai le cœur lourd Je ne pense qu’à ça tout les jours Heureusement, mon arme subsiste Même avec ce dernier Je n’ai pas su te retenir Tu es de moins en moins tendre Je ne supporte pas quand ne s’aime plus Et que cette flamme brûle mes doigts Et enflamme mon cœur Je me brûle pour toi Regarde-moi Je perds ma voix devant toi Ma conscience et mon existence SURTOUT Ne me demande pas de faire un requis… Je m’en aille Pour inspirer un autre monde Pleins de rires Où je pourrais convoquer l’espoir Un nouvel avenir Avant d’y être je referme mon passé Comme si rien ne c’était passé Je redevienne moi même Sans avoir le mal d’aimer Sans aucun regret Je jetterais mes espoirs Mes souvenirs, mon histoire Mon amour et Mes maladresses Avec un grand A d’Adieu pour toujours Loin de Mon P’tit Cœur Un instant, J’entends des rumeurs Tu veux me reconquérir ? Je me fais des illusions Ce n’était que Les murmures de la fin Si je décris notre histoire Je dirais : Que C’ETAIT SALEMENT ROMANTIQUE.
