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« La Mort de la Nature »

#1
Autrefois pour méditer et retrouver le clame,
Ainsi que pour fuir les mauvaises haleines de la ville,
Je me rendais près d’une rivière pour reposer mon âme.
Aussitôt j’oubliais le reste du monde sur cette terre fertile,

Dans mon exile, je regardais une termitière
Encore en chantier, les termites étaient fières
De la construire ; et souvent par curiosité,
J’approchais plus près d’elle sans bâclée
Mon regard, les gardiens de l’immense chantier
Veillaient nuit et jours, leurs châteaux avait une base d’acier,
Ainsi je contemplais cette nature en joie,
La faune résonnait le dernier soupire des proies,

Mais tout était merveilleux, presqu’irréelle d’ailleurs.
Et ce lieu sentait vraiment le bonheur.
Parfois mon repos était accompagné de chants
D’oiseaux, ces êtres m’assistaient pendant
Mon sommeil et me berçaient jusqu'à mon réveil
A l’ instant où tombait à l’horizon le Soleil.

Mais voilà qu’un jour je voulus me rendre dans ce lieu béni,
Soudain je fus freiné par une pancarte de danger de mort,
Stupéfait, surpris, étonne mes je n’en croyais pas, le sort
Etaient bien là et son ampleur était grandiose ; alors je fondis
En larme comme gamin. C’était incroyable à mes yeux !
La termitière était sous les ordures et les mauvaises odeurs
Avaient tué la faune : Plus d’insectes ! Plus de verdure ! Quel malheur !



Maintenant coulait des déchets vraiment toxiques et dangereux
A radioactivité dense et à l’odeur suffocante,
Donnant la migraine sur le champ.
Comme un camp ravagé par la peste mon hôtel était méconnaissable,
Aucun mammifère ! Aucun reptile ! Aucuns oiseaux !
Ne se trouvait dans les environs, que c’est abominable !
Les arbres avaient séchés comme
S’ils avaient jeunés depuis des ans.