Nous utilisons des cookies pour vous garantir la meilleure expérience sur notre site web.
Si vous continuez à utiliser ce site, nous supposerons que vous en êtes satisfait.

  • Visiteur, merci de ne pas poster plus de 5 poèmes par jour. Ceci dans le but d'améliorer la visibilité du site.

« Dans les Décombres d’un Attentat »

adamovitch

Nouveau poète
#1
Ici ! Des pleurs ! Là-bas ! Des cris !
Un peu plus loin, des corps inertes gisaient
Sur le trottoir, des femmes pleuraient,
Pendant des hommes étaient en larmes, des sonneries
De clairon résonnaient partout, la ville sentait
Le deuil, des immeubles et maisons s’était


Ecroulés sous le poids de la violence des bombes
Du gravas ! Des tas de gravas ! Des bus démolis !
Des taxis ! Des voitures personnelles ! Tous étaient sans vie
Des oiseaux, notamment des colombes
Avaient été déchiquetés sur le champ,
Aucunes vies ne furent épargnées sur les lieux
De l’attentat. Même les avions qui volaient dans les cieux

Pendant la catastrophe ne furent épargnés ; les chants
De deuils résonnaient déjà dans les églises.
La mort régnait sur la ville comme devise,
Des morceaux de corps étaient éparpillés
Partout sur toute la largeur de la ville éventrée.
Ici des bras et des pieds ! Là-bas une tête !,
Comme si Satan était en fête.

Sous les décombres un enfant bougeait
A peine son bras. Des secouristes s’approchaient,
Soulevaient les tas de gravas qui gisaient
Sur une partie du corps de l’enfant ; c’était
Incroyable ! Cet enfant était sain et sauve, quel miracle !
L’espoir renaissait pour les parents et proches
Des disparus. Les policiers délimitaient en cercle
Les lieux de l’attentat ; des couches


De décombres avaient été déjà enlevées
Par les camions de ramassages d’ordures
Les hôpitaux étaient remplis de blessés,
Les infirmiers ! Les médecins ! Étaient désormais des créatures
Précieuses tandis que les places se faisaient rare dans les hôpitaux.
D’autre blesses furent directement envoyé dans les cliniques,
Les produits phytosanitaires étaient en pénuries et plus cynique
Encore le nombre de médecins étaient insuffisant ; et le taux
De personnes mortes par coma ou brulis étaient indéchiffrable.
La ville était entre les griffes de la mort, c’était vraiment effroyable !
Des camps d’intervention rapides avaient été installés.
L’arme, la police, la gendarmerie, la sécurité privée, tous avaient été mobilisés.

Les enquêteurs étaient à pieds d’œuvres,
Tandis que les journalistes communiquaient les moindres informations
Sur les circonstances de l’attentat et l’état des victimes ; des œuvres
De charités furent demandées à toute la population
Afin de montrer aux yeux du monde que même
En période difficile, l’amour pouvait encore régnée.

Le crépuscule tombait et bougies furent allumées
Dans toutes les coins et recoins de la ville en mémoire
Aux disparus, des bouquets de fleurs accompagnés de messages
Avaient été déposés devant les habitats des disparus
Ou sur leurs lieux de travails.

Cette journée restera gravée dans les mémoires.