C’est ça ouvrier,
Ça commence par le froid et la faim
Qui nous enserrent
Moi et les miens
C’est la misère qui tient les chaînes
Et me traîne
Aux portes de l’usine
Puis m’arrime
A la machine
Pour qu’une décadence m’avale,
Courbe mon échine
Sous un rythme infernal
La sécheresse
S’inscrit sur mon...