Sonnet: Démon.
Je te plains car ton cœur est obscurci
Par ce grand voile noir des ténèbres ;
Ta haine, de par tes mots, célèbre
La fin de notre lien et d’un répit.
Ta sainte colère enfouie ressurgit,
M’en rompant violemment les vertèbres
Par l’agglomérat d’un stress funèbre ;
Mais tu n’en...