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Les cons cernent sa vie
Sans se voir concernés
Et la détresse s’écrit
Sur l’aile d’une âme fanée
Le bleu cerne ses yeux
L’ampleur insoupçonnée
Du fardeau qu’elle supporte
Lents pleurs, insoupçonnés
Son sourire que l’époux vante
S’efface sous les ombres du soir
Au rythme d’une peine lancinante...