Je regarde à gauche/ RAS/ et je regarde à droite/ passe le temps je passe les bonnes vitesses
constamment sur la roue de secours/ pour savoir où je vais t' auras besoin d' un gps
pas un regard dans le miroir sans penser à briller/ pas une feuille blanche sans penser à râturer
ce soir j'écris à mon frère/ j' espère ne pas m' éteindre sans l' avoir rassuré
les épreuves jamais ne cessent/ mais qui tu provoques?/ au précipice de la forme/ mais qui tu convoques?
ils ont crucifié le christ/ qu' est-ce qu' ils invoquent ?/ en haut du vatican y' a des croisés qui complotent
lâchez les chiens les chiens restent enlisés/ avertissement pour les jaloux qui resteraient au perron de mon élysée jamais alcoolisé/ qu' ils viennent/ ils se feront déférés/ comme des caniches tout calcinés
tout juste incarcéré j' espère briller/ à la guitare de vos étés
parano jusqu' à en baver/ personne est innocent personne pour me juger
tu dévisages, tu envisages de t' emparer de mon empire/
renseignes toi/ vite/ viens/ pas braquer avec des gants
je compte pas souffrir mais m' assurer de ton plaisir/
assis sur un trône le drapeau du monde entre les dents
Je brise les miroirs/ j' ai des contemporains dans l' tiroir/
moi je n' ai fait qu' écrire la suite de mon histoire/
et ils pensent ils disent que je renverse notre espoir ?
Seigneur priez pour nous/ où sont les hommes ? pour qui donc sont toutes ces bombes qui atomisent ?
des discours pour compassion/ à attendre qu' on médiatise/ pendant ce temps y' a des fuites qui s' organisent
les corps tombent/ c' est quand les pauvres agonisent que le bien s' interroge
les corps tombent/ le mal est déjà bien loin quand nos regards s' interposent
les charniers fleurissent en hiver/ où sont les hommes ?/ ceux qui espèrent et ceux qui osent?
des questions sans réponse/ des convictions qui supportent des ronces/
les stades sont pleins pour des ballons/ de ce monde j' en suis le con
sans imagination/ le passé meurt à la seconde la tête dans l' klaxon/
des anges sans introspection/ des liasses de billets comme larrons
un monde parfait n' aurait pas d' artistes/ comme un quatorze juillet sans artifices/
des baptêmes de l' air sans parachute/ 6 milliards moins x de taupes qui crapahutent
J' excuse nos coeurs sans retour/ je m' excuse/ je les excuse s'il paraît que l' air con rend ma vie facile
des lignes que je paie avec amour/ amusez-vous/ sur la mienne/ je viens décrire le décor qui ironise
je lis pas les quotidiens j' aurai trop peur de l' écho/ mon dieu ils rachètent ton monde avec des cents en euro
j' excuse les coeurs sans retour/ et notre temps toujours à sa bourre/ j' aimerais tant que nos gueules d' ange se pointent sur les plaines du Darfour
un as de coeur dans un veston du cachemire/ comme ils disent/ comme ils méprisent et comme je vis par amour
tu dévisages, tu envisages de t' emparer de mon empire/
renseignes toi/ vite/ viens/ pas braquer avec des gants
je compte pas souffrir mais m' assurer de ton plaisir/
assis sur un trône le drapeau du monde entre les dents
Je brise les miroirs/ j' ai des contemporains dans l' tiroir/
moi je n' ai fait qu' écrire la suite de mon histoire/
et ils pensent ils disent que je renverse notre espoir ?
je porte la barbe proprement/ je ronge mon frein calmement/ je m' attends toujours à te voir sur un tournant
les camions de béton chez nous ont des airs militaires/ les loups et les lève-tôt ont chopé le ver solitaire
un chacun pour soi synonyme de l' enfer/ j' peux pas partir avant vous/ y' a trop d' mes textes qui faut qu' j' enterre
j' espère pas/ de mieux en mieux/ le regard vers le bas et les yeux vers les cieux
c' est la méfiance qui nourrit tous mes soupirs/ il ne tient qu' à toi de faire danser mes contentieux
tu rêves de jantes en or à la recherche du ballon d'or/ j' ai survolé toute notre histoire à bord du codon d'or mystérieuses sont les cités / ne dors pas/ à l' écoute/ comme toujours un oeil dehors
assis dans mes cages j' entends qu' olive et tom courent encore jusqu' à l' aurore
la galaxie est si sage et si hardcore/ la mer a tangué et elle tanguera encore
dis-moi qui est le capitaine à bord? qui supporte ses propres erreurs?/ qui supporte encore sa propre humeur?
Je brise les miroirs/ j' ai des contemporains dans l' tiroir/ moi je n' ai fait qu' écrire la suite de mon histoire/ et ils pensent ils disent que je renverse notre espoir ?
de bonne heure ce matin j' en ai bien peur/ employer des erreurs c' est comme fossoyer de l' horreur
la france accuse la france jalouse ceux qu' elle a laissé partir/
un matin d' révolution les sans-culottes sans papier n' ont rien vu venir
assis sur le trône un drapeau du monde entre les dents, un drapeau tissé du sang de notre avenir
constamment sur la roue de secours/ pour savoir où je vais t' auras besoin d' un gps
pas un regard dans le miroir sans penser à briller/ pas une feuille blanche sans penser à râturer
ce soir j'écris à mon frère/ j' espère ne pas m' éteindre sans l' avoir rassuré
les épreuves jamais ne cessent/ mais qui tu provoques?/ au précipice de la forme/ mais qui tu convoques?
ils ont crucifié le christ/ qu' est-ce qu' ils invoquent ?/ en haut du vatican y' a des croisés qui complotent
lâchez les chiens les chiens restent enlisés/ avertissement pour les jaloux qui resteraient au perron de mon élysée jamais alcoolisé/ qu' ils viennent/ ils se feront déférés/ comme des caniches tout calcinés
tout juste incarcéré j' espère briller/ à la guitare de vos étés
parano jusqu' à en baver/ personne est innocent personne pour me juger
tu dévisages, tu envisages de t' emparer de mon empire/
renseignes toi/ vite/ viens/ pas braquer avec des gants
je compte pas souffrir mais m' assurer de ton plaisir/
assis sur un trône le drapeau du monde entre les dents
Je brise les miroirs/ j' ai des contemporains dans l' tiroir/
moi je n' ai fait qu' écrire la suite de mon histoire/
et ils pensent ils disent que je renverse notre espoir ?
Seigneur priez pour nous/ où sont les hommes ? pour qui donc sont toutes ces bombes qui atomisent ?
des discours pour compassion/ à attendre qu' on médiatise/ pendant ce temps y' a des fuites qui s' organisent
les corps tombent/ c' est quand les pauvres agonisent que le bien s' interroge
les corps tombent/ le mal est déjà bien loin quand nos regards s' interposent
les charniers fleurissent en hiver/ où sont les hommes ?/ ceux qui espèrent et ceux qui osent?
des questions sans réponse/ des convictions qui supportent des ronces/
les stades sont pleins pour des ballons/ de ce monde j' en suis le con
sans imagination/ le passé meurt à la seconde la tête dans l' klaxon/
des anges sans introspection/ des liasses de billets comme larrons
un monde parfait n' aurait pas d' artistes/ comme un quatorze juillet sans artifices/
des baptêmes de l' air sans parachute/ 6 milliards moins x de taupes qui crapahutent
J' excuse nos coeurs sans retour/ je m' excuse/ je les excuse s'il paraît que l' air con rend ma vie facile
des lignes que je paie avec amour/ amusez-vous/ sur la mienne/ je viens décrire le décor qui ironise
je lis pas les quotidiens j' aurai trop peur de l' écho/ mon dieu ils rachètent ton monde avec des cents en euro
j' excuse les coeurs sans retour/ et notre temps toujours à sa bourre/ j' aimerais tant que nos gueules d' ange se pointent sur les plaines du Darfour
un as de coeur dans un veston du cachemire/ comme ils disent/ comme ils méprisent et comme je vis par amour
tu dévisages, tu envisages de t' emparer de mon empire/
renseignes toi/ vite/ viens/ pas braquer avec des gants
je compte pas souffrir mais m' assurer de ton plaisir/
assis sur un trône le drapeau du monde entre les dents
Je brise les miroirs/ j' ai des contemporains dans l' tiroir/
moi je n' ai fait qu' écrire la suite de mon histoire/
et ils pensent ils disent que je renverse notre espoir ?
je porte la barbe proprement/ je ronge mon frein calmement/ je m' attends toujours à te voir sur un tournant
les camions de béton chez nous ont des airs militaires/ les loups et les lève-tôt ont chopé le ver solitaire
un chacun pour soi synonyme de l' enfer/ j' peux pas partir avant vous/ y' a trop d' mes textes qui faut qu' j' enterre
j' espère pas/ de mieux en mieux/ le regard vers le bas et les yeux vers les cieux
c' est la méfiance qui nourrit tous mes soupirs/ il ne tient qu' à toi de faire danser mes contentieux
tu rêves de jantes en or à la recherche du ballon d'or/ j' ai survolé toute notre histoire à bord du codon d'or mystérieuses sont les cités / ne dors pas/ à l' écoute/ comme toujours un oeil dehors
assis dans mes cages j' entends qu' olive et tom courent encore jusqu' à l' aurore
la galaxie est si sage et si hardcore/ la mer a tangué et elle tanguera encore
dis-moi qui est le capitaine à bord? qui supporte ses propres erreurs?/ qui supporte encore sa propre humeur?
Je brise les miroirs/ j' ai des contemporains dans l' tiroir/ moi je n' ai fait qu' écrire la suite de mon histoire/ et ils pensent ils disent que je renverse notre espoir ?
de bonne heure ce matin j' en ai bien peur/ employer des erreurs c' est comme fossoyer de l' horreur
la france accuse la france jalouse ceux qu' elle a laissé partir/
un matin d' révolution les sans-culottes sans papier n' ont rien vu venir
assis sur le trône un drapeau du monde entre les dents, un drapeau tissé du sang de notre avenir