Aurore du jardin aux sens subtils
Tu m'éveilles au parfum de l'amour
Douceur délicate de l'eau tranquille
Je parcoure les chemins et alentours
Tel la musique des quatre saisons
Sensations légères et douces chansons
Ton esprit résonne jusqu'à la fusion
Au confin des montagnes d'oraison
Tumulte des cultures au matin réveillées
Les costumes de soie ravivent l'espoir
L'astre du jour brille, à nouveau sublimé
Le vent, joueur et enjôleur, se laisse entrevoir
Courbes et peintures, pinceaux et formes
Je réssusite les âmes des tes souvenirs perdus
Traditions écumées dans la poussière de l'homme
Frissons du calme, appaisés par le silence confondu
Marcher sur la force de tes origines lointaines
Appèrendre chaque jour comment la vie se renouvelle
Goûter la fleur qui illumine nos coeurs emplis de haine
Ecouter la terre crier dans le choc de ses appels
Sentir le temps effleurer ton âme endurcie par le mal
Voir ton sang versé par ta colère trop vite ranimée
Les dieux eux-mêmes épargnent ta vie si banale
Sachant que tu es appelé à un destin plus endiablé
Ouvrir les yeux sur un lendemain encore inchangé
Chevaucher un territoire depuis trop longtemps inconquis
Plonger ton corps dans l'atmosphère d'un ciel inhibé
Il souffle sur ton chemin un air de source incompris
Tel une fleur de lys tu vas de conquêtes en victoires
Sans t'arrêter, tu poursuis inlasablement la cueilletête
De ces herbes des champs qui enlaidissent ton promontoir
Sans goûter au plaisir du clair horizon, là où dort la bête
Décadence notoire de ces instants perdus dans la nuit
Soutiens la brise fraîche des murmures indomptés
Caresse la flamme qui brise le sablier du temps qui fuit
Il faut revenir aux racines des tendres bonheurs passés
Tu m'éveilles au parfum de l'amour
Douceur délicate de l'eau tranquille
Je parcoure les chemins et alentours
Tel la musique des quatre saisons
Sensations légères et douces chansons
Ton esprit résonne jusqu'à la fusion
Au confin des montagnes d'oraison
Tumulte des cultures au matin réveillées
Les costumes de soie ravivent l'espoir
L'astre du jour brille, à nouveau sublimé
Le vent, joueur et enjôleur, se laisse entrevoir
Courbes et peintures, pinceaux et formes
Je réssusite les âmes des tes souvenirs perdus
Traditions écumées dans la poussière de l'homme
Frissons du calme, appaisés par le silence confondu
Marcher sur la force de tes origines lointaines
Appèrendre chaque jour comment la vie se renouvelle
Goûter la fleur qui illumine nos coeurs emplis de haine
Ecouter la terre crier dans le choc de ses appels
Sentir le temps effleurer ton âme endurcie par le mal
Voir ton sang versé par ta colère trop vite ranimée
Les dieux eux-mêmes épargnent ta vie si banale
Sachant que tu es appelé à un destin plus endiablé
Ouvrir les yeux sur un lendemain encore inchangé
Chevaucher un territoire depuis trop longtemps inconquis
Plonger ton corps dans l'atmosphère d'un ciel inhibé
Il souffle sur ton chemin un air de source incompris
Tel une fleur de lys tu vas de conquêtes en victoires
Sans t'arrêter, tu poursuis inlasablement la cueilletête
De ces herbes des champs qui enlaidissent ton promontoir
Sans goûter au plaisir du clair horizon, là où dort la bête
Décadence notoire de ces instants perdus dans la nuit
Soutiens la brise fraîche des murmures indomptés
Caresse la flamme qui brise le sablier du temps qui fuit
Il faut revenir aux racines des tendres bonheurs passés