crée le 12/10/2010
Elle t'observe ( rapidement ),
elle attend, en reserve ( sagement)
Pourquoi se questionner ?
Sur ce qui ne peut etre revelé,
Ce qui n'a jamais changé,
Ce qui est informe et disparate.
Cette verité que tu sent
tout le temps,
cette douleur vaniteuse et cruelle,
Qui te dechire le ventre, éternelle.
Elle t'observe ( continuellement )
ravive ce qui t'enerve ( toujours autant )
Elle est la tout a coté de toi,
Elle te regarde fascinée,
Pauvre petite chose que tu es,
tout le temps elle est a pret de toi.
Lorsque que c'est le noir et que fais semblant de dormir,
Tu entend bourdonner ses rires,
Cruels et sardoniques, plaintes des demons et des morts,
Tu te resonnes, tu veut croire que tu as tord.
Elle t'observe ( solenellement )
cette sombre verité que tu presverve ( amouresement )
Oui, cette verité immuable qui te colle a la peau,
Elle seule qui t'enleve ce que tu as de plus beau.
comme un second vetement, qui a toi s'accroche,
Le temps d'un battement de coeur, il est proche.
Il se nourris de ton exitation,
Des tes reves noirs, souillés, et pervers,
Au combat pour le raisonnement tu perd.
Elle est le comble de la damnation
Elle t'obsede ( passionellement )
De ton ame te depossede ( amicalement )
Hume la peur qui suinte de ton corp tiede ( enormement)
Du vide qui t'anime cherche un remede ( veridictement )
N'as tu donc point deviné?
C'est ce que tu as de plus laid !
Toujours pas illuminé de la verité?
Cherche tu peut trouver !
C'est ta vanité !
†.Akuma-haiiro †
Elle t'observe ( rapidement ),
elle attend, en reserve ( sagement)
Pourquoi se questionner ?
Sur ce qui ne peut etre revelé,
Ce qui n'a jamais changé,
Ce qui est informe et disparate.
Cette verité que tu sent
tout le temps,
cette douleur vaniteuse et cruelle,
Qui te dechire le ventre, éternelle.
Elle t'observe ( continuellement )
ravive ce qui t'enerve ( toujours autant )
Elle est la tout a coté de toi,
Elle te regarde fascinée,
Pauvre petite chose que tu es,
tout le temps elle est a pret de toi.
Lorsque que c'est le noir et que fais semblant de dormir,
Tu entend bourdonner ses rires,
Cruels et sardoniques, plaintes des demons et des morts,
Tu te resonnes, tu veut croire que tu as tord.
Elle t'observe ( solenellement )
cette sombre verité que tu presverve ( amouresement )
Oui, cette verité immuable qui te colle a la peau,
Elle seule qui t'enleve ce que tu as de plus beau.
comme un second vetement, qui a toi s'accroche,
Le temps d'un battement de coeur, il est proche.
Il se nourris de ton exitation,
Des tes reves noirs, souillés, et pervers,
Au combat pour le raisonnement tu perd.
Elle est le comble de la damnation
Elle t'obsede ( passionellement )
De ton ame te depossede ( amicalement )
Hume la peur qui suinte de ton corp tiede ( enormement)
Du vide qui t'anime cherche un remede ( veridictement )
N'as tu donc point deviné?
C'est ce que tu as de plus laid !
Toujours pas illuminé de la verité?
Cherche tu peut trouver !
C'est ta vanité !
†.Akuma-haiiro †
