Voyage
Il est un pays doux, tendre, chaud et beau,
De belles collines, entres elles, il y coule un ruisseau.
J’aime à promener, à rêver en ces contrées,
Il y fait bon à l’ombre de ces monts dorés.
En musardant de ci de là j’ai trouvé son cœur.
Pour le voir j’ai frôlé de rousses broussailles,
Mais pas de griffure… il n’y avait pas trop de maille,
Cela à même été agréable il y avait une douce senteur.
Puis deux mares de chocolat, Je les ai contournés,
Elles étaient calmes et avaient une belle couleur noisette.
Ah oui j’oubliais entre il y a un rocher, bien dessiné.
Une descente en mon chemin et sans penser aux amusettes,
J’aperçois au pied de cette pente une anodine fissure,
Elle est bordée de suaves et tendres boursouflures,
Elles avaient la forme et la force d’un baiser,
J’ai fermé les yeux et un souffle m’a charmé.
Je continue ma ballade et au détour d’une accolade,
Je passe une gorge chaude entre deux mamelons,
Je les regarde ils semblent durs je les escalade,
Je m’y allonge, ils sont douillet, un vrai salon.
Après ce temps de Grâce je suis dans une prairie,
Elle est de satin caressant et d’un doux velouté.
Et je parviens en lisière d’une futaie en roulé-boulé,
Je le sens battre cet amour et là plus de plaisanterie.
Je m’approche et traverse se bosquet caressant,
Et la entre deux belles emphases le désir de l’amant.
Tendre bouton qui de sa chaleur me donne vigueur,
En extase béat d’admiration en ce lieu ensorceleur.
Vous l’avez compris cet endroit je l’adore j’e l’aime,
Il est un corps, il est une âme, il est une partie de moi-même.
Il me serait pénible de ne plus pouvoir en ces lieux flâner.
Ne plus le caresser, le cajoler, le câliner, l’embrasser, l’aimer,
Que de tristesse, mon cœur serait harcelé à en pleurer.
Il est un pays doux, tendre, chaud et beau,
De belles collines, entres elles, il y coule un ruisseau.
J’aime à promener, à rêver en ces contrées,
Il y fait bon à l’ombre de ces monts dorés.
En musardant de ci de là j’ai trouvé son cœur.
Pour le voir j’ai frôlé de rousses broussailles,
Mais pas de griffure… il n’y avait pas trop de maille,
Cela à même été agréable il y avait une douce senteur.
Puis deux mares de chocolat, Je les ai contournés,
Elles étaient calmes et avaient une belle couleur noisette.
Ah oui j’oubliais entre il y a un rocher, bien dessiné.
Une descente en mon chemin et sans penser aux amusettes,
J’aperçois au pied de cette pente une anodine fissure,
Elle est bordée de suaves et tendres boursouflures,
Elles avaient la forme et la force d’un baiser,
J’ai fermé les yeux et un souffle m’a charmé.
Je continue ma ballade et au détour d’une accolade,
Je passe une gorge chaude entre deux mamelons,
Je les regarde ils semblent durs je les escalade,
Je m’y allonge, ils sont douillet, un vrai salon.
Après ce temps de Grâce je suis dans une prairie,
Elle est de satin caressant et d’un doux velouté.
Et je parviens en lisière d’une futaie en roulé-boulé,
Je le sens battre cet amour et là plus de plaisanterie.
Je m’approche et traverse se bosquet caressant,
Et la entre deux belles emphases le désir de l’amant.
Tendre bouton qui de sa chaleur me donne vigueur,
En extase béat d’admiration en ce lieu ensorceleur.
Vous l’avez compris cet endroit je l’adore j’e l’aime,
Il est un corps, il est une âme, il est une partie de moi-même.
Il me serait pénible de ne plus pouvoir en ces lieux flâner.
Ne plus le caresser, le cajoler, le câliner, l’embrasser, l’aimer,
Que de tristesse, mon cœur serait harcelé à en pleurer.