La nuit je me surprends à voler dans le ciel
Ou l'éclat des étoiles se mélange à toi.
Ô mon bien aimé, comme artificielle
Je me fige telle une poupée de cire
La nuit me protège de son drap de douceur,
Et j'observe la rue, les respirations qui
Se veulent altérées, autour des coeurs
Comme des fruits secs qui dans les assiettes luisent
Pour parler, discourir à travers nos rèves
Et nous plongent dans un cosmos qui coloré
Parfume nos consciences d'un ton sans trève
Que les cieux nous éclaboussent et qui doré
Nous regardent, petit air charmant, sauvage
A travers la nature que la nuit cache
Sous nos paupières des pensées de partage
Et d'un rythme fougueux s'endort toutes les taches
Ou l'éclat des étoiles se mélange à toi.
Ô mon bien aimé, comme artificielle
Je me fige telle une poupée de cire
La nuit me protège de son drap de douceur,
Et j'observe la rue, les respirations qui
Se veulent altérées, autour des coeurs
Comme des fruits secs qui dans les assiettes luisent
Pour parler, discourir à travers nos rèves
Et nous plongent dans un cosmos qui coloré
Parfume nos consciences d'un ton sans trève
Que les cieux nous éclaboussent et qui doré
Nous regardent, petit air charmant, sauvage
A travers la nature que la nuit cache
Sous nos paupières des pensées de partage
Et d'un rythme fougueux s'endort toutes les taches