Bercée comme au creux des vagues agitées,
Je m'endormirais au son de son coeur,
Me résonnerait à l'oreille des battements réguliers,
Messages en morse d'un amour en couleurs.
Je vivrais au creux de ses bras
A me nourrir de son souffle.
Lovée contre lui, j'oublirais le monde au dehors,
En son âme je tomberais, à m'effacer.
Et les sanglots me résonnerons si forts
Qui me sera alors simple de le consoler.
Je vivrais au creux de ses bras
A m'abreuver de son regard.
Serrée contre son corps, sur ma joue sa main,
Je serais l'oiseau planant à la crète des rochers,
Libre de prendre mon essor chaque matins,
Et de m'envoler haut, juste pour fuguer.
Je vivrais au creux de ses bras,
Jusqu'a en mourrir de bonheur.
Je m'endormirais au son de son coeur,
Me résonnerait à l'oreille des battements réguliers,
Messages en morse d'un amour en couleurs.
Je vivrais au creux de ses bras
A me nourrir de son souffle.
Lovée contre lui, j'oublirais le monde au dehors,
En son âme je tomberais, à m'effacer.
Et les sanglots me résonnerons si forts
Qui me sera alors simple de le consoler.
Je vivrais au creux de ses bras
A m'abreuver de son regard.
Serrée contre son corps, sur ma joue sa main,
Je serais l'oiseau planant à la crète des rochers,
Libre de prendre mon essor chaque matins,
Et de m'envoler haut, juste pour fuguer.
Je vivrais au creux de ses bras,
Jusqu'a en mourrir de bonheur.