Souffle et passe le vent sur tes amours,
Qui dévoile tes secrets aux alentours,
S'insinue les soirs de veillée,
Fantasme parfois sous l'oreiller...
Souffle et pénètre le vent dans ta chaumière,
Qui s'introduit dans chaque mystère,
Bouscule toute ta vie privée,
Injurie même ton intimité...
Vent de tourmente, vent de tempête,
Vent d'ouragan... qui fait la fête.
Souffle et s'acharne le vent sur les roseaux,
Qui prend les aspects de noirs corbeaux,
Tourbillonne encore dans ta tête,
Murmure des on dits malhonnêtes...
Il s'approprie même ton enfance
Rallume les feux de ta souffrance
Histoires mensonges, histoires d'amants
Histoires de fou, histoires d'antan...
Vent de typhon, vent de tempête,
Vent de tornade... tu perds la tête.
Tu voudrais boucher tes oreilles,
Ne plus l'entendre à ton réveil,
Mais il souffle et grandit au loin
Chaque journée, chaque matin...
Il transporte avec lui la haine,
La mort des âmes, toute ta peine,
Tu rêves de l'envoyer aux quatre vents
Mais... on n'attrape pas le vent...
Qui dévoile tes secrets aux alentours,
S'insinue les soirs de veillée,
Fantasme parfois sous l'oreiller...
Souffle et pénètre le vent dans ta chaumière,
Qui s'introduit dans chaque mystère,
Bouscule toute ta vie privée,
Injurie même ton intimité...
Vent de tourmente, vent de tempête,
Vent d'ouragan... qui fait la fête.
Souffle et s'acharne le vent sur les roseaux,
Qui prend les aspects de noirs corbeaux,
Tourbillonne encore dans ta tête,
Murmure des on dits malhonnêtes...
Il s'approprie même ton enfance
Rallume les feux de ta souffrance
Histoires mensonges, histoires d'amants
Histoires de fou, histoires d'antan...
Vent de typhon, vent de tempête,
Vent de tornade... tu perds la tête.
Tu voudrais boucher tes oreilles,
Ne plus l'entendre à ton réveil,
Mais il souffle et grandit au loin
Chaque journée, chaque matin...
Il transporte avec lui la haine,
La mort des âmes, toute ta peine,
Tu rêves de l'envoyer aux quatre vents
Mais... on n'attrape pas le vent...