Valse du temps en ritournelle,
Dans un mouvement perpétuel
Les paysages caméléons
Jouent le ballet des quatre saisons
Le printemps pointe son nez,
Pour nous faire espérer,
Et nous redonner goût à la vie,
Tel un bourgeon qui s'épanouit
Alors dans la ronde estivale,
Naissent les histoires sentimentales,
Celles que l'on voudrait éternelles,
Mais qui s'envolent à tire d'ailes
Puis les arbres se déshabillent,
Et les amoureux ont les yeux qui brillent,
Car tout comme les fleurs fanées,
Leurs rêves se sont évaporés
La nature dort paisiblement
Ainsi s'étend le manteau blanc
Pour quelques mois d'âme meurtrie
Le froid s'installe dans nos vies
Cette boucle des temps,
Reviendra tous les ans,
Car cette ballade éternelle,
Est censée nous rendre la vie plus belle
Dans un mouvement perpétuel
Les paysages caméléons
Jouent le ballet des quatre saisons
Le printemps pointe son nez,
Pour nous faire espérer,
Et nous redonner goût à la vie,
Tel un bourgeon qui s'épanouit
Alors dans la ronde estivale,
Naissent les histoires sentimentales,
Celles que l'on voudrait éternelles,
Mais qui s'envolent à tire d'ailes
Puis les arbres se déshabillent,
Et les amoureux ont les yeux qui brillent,
Car tout comme les fleurs fanées,
Leurs rêves se sont évaporés
La nature dort paisiblement
Ainsi s'étend le manteau blanc
Pour quelques mois d'âme meurtrie
Le froid s'installe dans nos vies
Cette boucle des temps,
Reviendra tous les ans,
Car cette ballade éternelle,
Est censée nous rendre la vie plus belle