Papa,
Nous sommes réunis aujourd'hui avec ceux que tu as aimés, protégés, chéris.
Peut-être apercois -tu une larme sur ma joue, mais bientôt c'est promis elle laissera place à un sourire.
Sourire de savoir que de ton petit coin de paradis, tu vas nous veiller, nous soutenir.
Un souvenir ne meurt jamais, il s'endort simplement, alors va papa, dors tranquillement.
Ne t'inquiètes pas ni pour moi , ni pour mes soeurs, tu es auourd'hui loin de nos yeux, mais rassures-toi, très près de nos coeurs.
Il est l'heure de te laisser partir vers l'endroit où nous viendrons nous receuillir.
Te raconter nos joies, peut-être aussi nos peines, et chercher ton réconfort que même après ce long voyage, je sais, tu nous donneras encore.
Ma pudeur m'a empéchée de te le dire, je t'aime papa, et ca pas même ton départ ne nous l'enlèvera.
Tu nous a écrit un jour un joli poême, que tu avais conclu par "à mes enfants, que j'aime tant".
Aujourd'hui ce n'est pas la fin, car tu seras toujous là, quelque part, près denous, mais ces mots , je te les souffle quand même : "De tes enfants qui t'aiment tant".
Le 13 février 2012, j'ai perdu mon garde du corps, mais j'ai trouvé mon ange gardien.
Je t'aime follement, eperduement papa, sois serein.
Peut-être apercois -tu une larme sur ma joue, mais bientôt c'est promis elle laissera place à un sourire.
Sourire de savoir que de ton petit coin de paradis, tu vas nous veiller, nous soutenir.
Un souvenir ne meurt jamais, il s'endort simplement, alors va papa, dors tranquillement.
Ne t'inquiètes pas ni pour moi , ni pour mes soeurs, tu es auourd'hui loin de nos yeux, mais rassures-toi, très près de nos coeurs.
Il est l'heure de te laisser partir vers l'endroit où nous viendrons nous receuillir.
Te raconter nos joies, peut-être aussi nos peines, et chercher ton réconfort que même après ce long voyage, je sais, tu nous donneras encore.
Ma pudeur m'a empéchée de te le dire, je t'aime papa, et ca pas même ton départ ne nous l'enlèvera.
Tu nous a écrit un jour un joli poême, que tu avais conclu par "à mes enfants, que j'aime tant".
Aujourd'hui ce n'est pas la fin, car tu seras toujous là, quelque part, près denous, mais ces mots , je te les souffle quand même : "De tes enfants qui t'aiment tant".
Le 13 février 2012, j'ai perdu mon garde du corps, mais j'ai trouvé mon ange gardien.
Je t'aime follement, eperduement papa, sois serein.