Homme noir, je te serre la main.
Enfant noir, au creux de mes bras, je t'étreins.
Femme noir, si tu aimes mon fils et s'il te le rend bien.
Votre union sera bénie par les miens.
Homme, femme, enfant, de couleur noire, je vous soutiens.
Dans votre lutte contre l'apartheid.
Dans votre espoir d'endormir cette bête.
Infâme progéniture de l'homme blanc.
Et qui nourrit sa bassesse de vos cris et de la mort de vos enfants.
Petits bonshommes de couleur, nés d'un père et d'une mère.
Semblable à l'enfant blanc, nous embrassons tous la même terre.
Elle n'a aucune couleur,elle est le berceau de notre premier cri dans la vie.
Et elle est le cercueil de notre dernier soupir dans la nuit.
L'homme noir est soumis à l'homme blanc.
Et l'homme blanc, proxénète, apprend aux putains d'hommes noir que le maître est blanc.
Votre légalité, homme blanc est qu'assis sur un gratte-ciel, vous dominez l'homme noir assis sur une terre battue.
Mais n'oublies surtout pas homme blanc, que où que tu sois assis,tu t'assieds toujours sur ton cul.
Homme blanc, votre solidarité est de procréer le mal et de vous en nourrir.
Cultivant le massacre, vous régniez sur un banc de sang et de boucherie.
La solidarité de l'homme noir est une incessante supplication.
Visant à vivre pareil à vous et moi.
Visant à élever ses enfants dans la loi.
Visant à être un homme avant d'être le cobaye de votre poison.
Homme blanc, tu as effectivement la peau blanche.
Unique couleur de la colombe, qui elle de sa blancheur émane la pureté.
Mais différente à toi, homme blanc, elle est blanche et pure dans son apparence.
Et elle le reste au plus profond de ses entrailles, blanche de dignité.
Alors que toi, homme blanc, les mûrs de ton asile une fois élevé.
Sont nus à l'intérieur, étouffé par l'absence de chaleur et de clarté.
Enfant noir, au creux de mes bras, je t'étreins.
Femme noir, si tu aimes mon fils et s'il te le rend bien.
Votre union sera bénie par les miens.
Homme, femme, enfant, de couleur noire, je vous soutiens.
Dans votre lutte contre l'apartheid.
Dans votre espoir d'endormir cette bête.
Infâme progéniture de l'homme blanc.
Et qui nourrit sa bassesse de vos cris et de la mort de vos enfants.
Petits bonshommes de couleur, nés d'un père et d'une mère.
Semblable à l'enfant blanc, nous embrassons tous la même terre.
Elle n'a aucune couleur,elle est le berceau de notre premier cri dans la vie.
Et elle est le cercueil de notre dernier soupir dans la nuit.
L'homme noir est soumis à l'homme blanc.
Et l'homme blanc, proxénète, apprend aux putains d'hommes noir que le maître est blanc.
Votre légalité, homme blanc est qu'assis sur un gratte-ciel, vous dominez l'homme noir assis sur une terre battue.
Mais n'oublies surtout pas homme blanc, que où que tu sois assis,tu t'assieds toujours sur ton cul.
Homme blanc, votre solidarité est de procréer le mal et de vous en nourrir.
Cultivant le massacre, vous régniez sur un banc de sang et de boucherie.
La solidarité de l'homme noir est une incessante supplication.
Visant à vivre pareil à vous et moi.
Visant à élever ses enfants dans la loi.
Visant à être un homme avant d'être le cobaye de votre poison.
Homme blanc, tu as effectivement la peau blanche.
Unique couleur de la colombe, qui elle de sa blancheur émane la pureté.
Mais différente à toi, homme blanc, elle est blanche et pure dans son apparence.
Et elle le reste au plus profond de ses entrailles, blanche de dignité.
Alors que toi, homme blanc, les mûrs de ton asile une fois élevé.
Sont nus à l'intérieur, étouffé par l'absence de chaleur et de clarté.