Le matin était : matin, et le soir était : soir, mais la journée ne tient plus et la nuit s’en empare. Un grain de chagrin, et l’obscur nous prend dans ses mains. Les doigts se referment et la lumière en déclin à son terme s’éteint. L’étain brûle et la chaux, vive, voit l’eau la faire mourir. L’étain flambe et se laisse enfin frémir. Trois soubresauts et tout est froid alors ; la chaleur ne laisse qu’un silence, et le silence est froid, encore !
La vie est au coin et le coin la dévore. Sous le lit, les démons sont plus fort. Dans la nuit, la vie, sous le lit et la peine sous les draps ne sont en sommes que cauchemars. Mes sommes n’en sont que frayeurs, mais… mes jours, sans saveurs, sont pire encore. Alors je dors quand le soleil est là, puis quand il se retire. Son éclat ne m’attire ; il n’est qu’un satyre qui se moque de moi. Mes yeux sont douloureux et mes oreilles à ses satires, sature. Mon lit est là. J’y reste coi. Ma vie est en éclats ; il en reste quoi ?
Rien de bon, rien de bien. J’ai fusionné mon cœur au sien. Elle m’a aimée, je l’ai chérie mais l’oxygène à manqué et le brasier s’asphyxiant n’est parti qu’en dévorant la moitié d’un palpitant. Le rythme cassé, la danse a cessé et mon étreinte agrippa le vide dans l’élan de ces chutes dont on ne retient que le bruit. Maintenant, la fin débute, et l’épilogue de mon drame personnel n’a d’analogue qu’en milliards d’exemplaires que les foules fuient comme elles se les arrachent… Le malheur, à mon malheur, est un bonheur pour bien des apaches quand il vient d’ailleurs…
La vie est au coin et le coin la dévore. Sous le lit, les démons sont plus fort. Dans la nuit, la vie, sous le lit et la peine sous les draps ne sont en sommes que cauchemars. Mes sommes n’en sont que frayeurs, mais… mes jours, sans saveurs, sont pire encore. Alors je dors quand le soleil est là, puis quand il se retire. Son éclat ne m’attire ; il n’est qu’un satyre qui se moque de moi. Mes yeux sont douloureux et mes oreilles à ses satires, sature. Mon lit est là. J’y reste coi. Ma vie est en éclats ; il en reste quoi ?
Rien de bon, rien de bien. J’ai fusionné mon cœur au sien. Elle m’a aimée, je l’ai chérie mais l’oxygène à manqué et le brasier s’asphyxiant n’est parti qu’en dévorant la moitié d’un palpitant. Le rythme cassé, la danse a cessé et mon étreinte agrippa le vide dans l’élan de ces chutes dont on ne retient que le bruit. Maintenant, la fin débute, et l’épilogue de mon drame personnel n’a d’analogue qu’en milliards d’exemplaires que les foules fuient comme elles se les arrachent… Le malheur, à mon malheur, est un bonheur pour bien des apaches quand il vient d’ailleurs…