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Résultat du concours une incroyable missive

#1
Concours : une incroyable missive
Du 16 février au 6 mars
Résultats 9 mars


boite aux lettres.jpg



Thème :

Vous venez de recevoir une lettre en provenance…de votre animal de compagnie … (chat, chien, poisson rouge, canari…) qu’il soit en vie ou bien dans l’au-delà…
Faites le parler de (je veux dire écrire) ses ressentis à votre égard !


Consignes :

Sous forme de prose, telle une lettre !
Attention à l’orthographe, aux répétitions et à la ponctuation !


Attendre les résultats avant de poster les poèmes participants sur votre page.

Chaque concurrent pourra envoyer trois poèmes

Vous pouvez également participer en hors concours.

Envoi de vos participations sur ma MP.
Comme vous devez- vous en douter : BESOIN DE JUGES !!! Me contacter sur ma MP.



Désolée, faute de juges je ne peux donner de notes, juste mes appréciations personnelles...je vous déclare tous gagnants, de très beaux poèmes emplis d'émotions



1 Mon Cher Humain, MATTHALE

C'est avec une émotion immense que je t'écris depuis les limbes, là où les pattes ne foulent plus la terre mais où les souvenirs demeurent intacts. Depuis mon départ de ce monde terrestre, j'ai eu tout le loisir de contempler nos années de vie commune, et je ressens le besoin irrépressible de te faire part de quelques réflexions.

D'abord, laisse-moi te dire combien ton absence m'a pesé. Tu sais, ce lien si particulier qui nous unissait, cette connexion indéfectible entre nos âmes, elle n'a pas disparu avec mon dernier souffle. Au contraire, elle s'est intensifiée, devenant une flamme vive dans les ténèbres de l'au-delà. Chaque jour, j'ai espéré te voir, te sentir près de moi, comme aux temps où nous partagions le même espace, la même vie.

Je me surprends aussi à repenser à nos instants de complicité. Les balades en plein air, où le vent caressait nos visages et où nos rires résonnaient dans l'écho de la nature. Les moments de repos, blotti contre toi, où chaque battement de ton cœur était une douce mélodie apaisante. Les jeux innocents, où nous oubliions le monde pour n'être que deux êtres, unis dans la simplicité de l'instant présent.

Pourtant, mon cher ami, il est une chose que je dois te confier, une vérité amère qui pèse sur mon âme canine. Je regrette les moments où j'ai pu être impatient, capricieux, où mes aboiements ont troublé ta quiétude, où mes gestes maladroits ont parfois causé du tort. Dans ma nouvelle perspective, je réalise à quel point tu as été patient, aimant, dévoué à mon égard. Si seulement j'avais su apprécier chaque instant à sa juste valeur, sans me laisser emporter par mes humeurs passagères.

Je t'en prie, ne garde pas de rancœur envers moi. Si j'ai commis des erreurs, c'est par ma nature de chien, imparfait mais plein d'amour. Ce que je retiens de notre périple ensemble, c'est avant tout la force de notre lien, indéfectible et éternel. Dans chaque battement de ton cœur, je retrouve l'écho du mien, dans chaque pensée, je sens ta présence bienveillante qui veille sur moi, même au-delà des frontières de la vie.

Alors, mon cher humain, permets-moi de te dire merci. Merci, pour chaque étreinte, chaque caresse, chaque regard complice qui ont illuminé ma vie de chien. Ne pleure pas ma disparition, car je suis là, tout près de toi, dans l'éclat d'un souvenir, dans le souffle du vent, dans la chaleur d'un rayon de soleil, dans l'herbe et les champs où nous promenions.

Avec tout mon amour,
Ton fidèle compagnon.

Empli de grand amour…une lecture qui m’a emplie d’émotion intense et où je ne n’ai pu retenir mes larmes

Quel superbe écrit, la complicité et l'amour de la bête et l'humain ...
y sont si merveilleusement bien décrits
assortis d''un beau titre....un vrai talent d'écrivain...Merci pour ce beau moment de lecture....




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2 Ma chère mi-maman-mi-maîtresse, ANGEPAPILLONNANOU

Hier encore, je jouais et paradais sous tes caresses, en cette nuit d’hiver, près de toi, j'ai fermé mes yeux,
Puis sans bruit vers le firmament, je me suis envolé.
Quelques heures avant, sur ton grand lit, je me pavanais, entre tes bras, je me roulais et m’étirais sur tes genoux.
Durant des heures interminables, je ronronnais, appuyant ma petite tête contre ta poitrine, mes yeux étaient deux agates suivant tes gestes.
Je t’écoutais et avec moi, tu étais si douce. De moi, j’aimerais que tu gardes nos souvenirs,
Rappelle-toi de nos jeux du pompon, ou encore celui de la ficelle, et lorsque contre tes mollets comment je m’y frôlais.
Parfois, j’aimais tellement jouer à cache-cache et entendre mon prénom, toi, tu faisais couiner mes doudous et sans bouger, j'écoutais.
Tu étais toi aussi espiègle, en ouvrant une de mes boites ou secouant mon sac de croquettes, là comme une fleur, j'arrivais de nulle part en miaulant de plus en plus fort.
Mais voilà, je n’avais que sept ans, et brutalement la mort est venue me cueillir, bien que mon cœur se soit arrêté, je voudrais que tu te souviennes de tous nos moments de confidences, d’harmonies et notre belle complicité.
S’il te plait, ma maîtresse, le rayon de soleil de ma vie, n’oublie jamais notre complicité, même si d’autres chiens, chats ou tout autres animaux, qu’en sais-je, saches que je n’éprouverais aucun sentiment de jalousie.
Je serais heureux pour toi, pour mon remplaçant, celui qui saura sécher tes larmes et te rendra ton joli sourire qui fut mon tout premier et dernier rayon de soleil.


Je t’aime pour toujours
Capucin, ta boule de poils d’amour.



On ne peut rester indifférent à cette lecture et ne verser de larmes…

Un texte plein d'émotion écrit à l'encre du cœur, laissant transparaître un vide énorme …
(attention aux répétitions)



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3 Quelques mots pour toi ma maîtresse ANGEPAPILLONNANOU

Près de toi, je veux grandir, regarder ton regard pétillant plonger dans mon regard amusé.
Pardonne-moi, si parfois, je fais des bêtises que tu es obligée de corriger.
Tu es à mes yeux, tout ce qui peut compléter mon monde, ma vie sans toi n’a pas de sens.
J’aime tellement cette vie que tu m’offres près de toi, tu me fais partager ta vie, ton foyer, tes joies et tes peines.
Des échos de ta voix, je les connais par cœur, et toutes les humeurs, qu’elles soient heureuses, tristes ou encore méfiantes.
Moi, je serai là, à t’observer, te donner ma patte, des petits coups de tête contre toi, afin de te réclamer un sourire, une caresse, un câlin.
Grâce à ton amour, je grandirai et vivrai le plus grand des bonheurs.
Je ferai en sorte que tu me voies comme ton meilleur ami, ton confident, un membre de ta famille.
Mon amour pour toi n’aura aucune limite, tu pourras me donner autant de surnoms que tu voudras malgré mon prénom que tu m’as donné à mon arrivée.
Vers toi, je viendrai à toute allure, je m’arrêterai de justesse à tes pieds et te donnerai gentiment en léchant ta main.
Pour de longues années, je veux être là près de toi, à t’aimer, jouer avec toi, pourvu qu’ainsi, nous ayons une complicité comblée d’amour.
Un jour sans doute, je m’envolerais de vieillesse, mais ma vie, c'est toi qui auras su l’embellir, et de mon paradis, je veillerais sur toi en veillant qu’un prochain compagnon vienne te consoler comme je l’aurais fait.


Avec tout mon amour
Ton chien Okapi


Lettre débordante d’amour…je souhaite à Okapi une longue vie de bonheur !
Répétition de « vie » et « regarder ton regard » assez maladroit … scruter ton regard…


Un beau témoignage d'amour et de reconnaissance, une promesse que okapi sera tenir...au delà du visible
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4 Quelques chants pour toi, ANGEPAPILLONNANOU

Pour toi, j’aime tellement chanter, à ton égard tu es si protectrice, lorsque tu restes là, tout près de moi, je te chante mes plus jolies mélodies, à ma façon j'essaye de les siffler, je veux chaque jour te remercier de m’avoir adopté.
De perchoirs en perchoirs, de gamelles en gamelles, je sautille lorsque j’entends ta voix qui se rapproche de plus en plus, je becquète ma cage.
De long en large, je vole, me pose puis reprends mon envol en chantant.
J’aime ignorer les moments où tu changes mon eau, ma nourriture,et dès que tu t’éloignes, accolé contre les barreaux de ma cage, je chante.
Devant toi, j’essaie de faire le beau en étendant mes ailes, puis me pavaner, pardonne-moi si parfois une petite part de moi reste encore un peu sauvage,
Tout au fond de mon être, il y a un petit cœur qui bat grâce à tes soins.
Contre rien au monde, je ne voudrais une autre maîtresse que toi, ce sont tes mains qui me nourrissent, me donnent à boire et des friandises.
Je me sens gâté sans même savoir pourquoi je suis aussi aimé, tu fais mon bonheur.
De temps à autre, je suis si coquin, mais toi, tu m’observes avec le sourire aux lèvres, Alors je retrouve mon calme, en attendant de toi des douceurs, des regards, des mots...
Tu réveilles ma curiosité lorsque tu glisses tes doigts entre les barreaux.
Lorsque je m’approche, j’espère que tu tiens du millet ou quelques douceurs.
Là, tu m’as si près de toi, que je suis presque prêt à me poser sur ton poignet, doucement, je tourne ma tête vers la gauche, la droite, et j’effleure ta peau.
Quand arrive l’instant où tu refermes ma cage, je chante afin de te remercier de me porter autant d’amour malgré ces barreaux de fer qui nous séparent,
À travers mes mélodies, je te fredonne la joie, l’amour que l’on partage tous les jours.


Mon amour vole vers toi

Copsy, ton canari

Une agréable lecture emplie de gazouillis et d’amour !

Attention aux répétitions telles que : chant, chanter... Je béquette... à mon égard... je me pavane,
Un moment d'intense émotion que votre conclusion, que je vis aussi avec un de mes mandarins, je leur chante la demoiselle sur une balançoire, ( l'un d'entre eux sort et rentre dans sa cage, il répond aussi à son nom...petit gris )



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5 La missive insolite postée au paradis des chiens! PROSE16

Comme chaque matin, je prends mon journal dans la boîte aux lettres, mais aujourd'hui il n'est pas seul, accompagné d'une drôle d'enveloppe blanche tachetée de noir, ressemblant étrangement...à un pelage de chien !
Très intriguée, je l'ouvre avec précaution ; c'est impossible, je n'en crois pas mes yeux ! Elle est signée d'empreintes de pattes de chien formant un nom -BALOO- disparu depuis quatorze ans, envolé trop tôt vers le paradis des chiens, me déchirant le coeur...


Je vous livre avec beaucoup d'émotion le contenu de sa lettre :
« Ma chère maîtresse,
Je t'écris ces quelques mots car je suis parti si soudainement que je n'ai pu te dire combien je t'aimais et ne souhaitais pas te quitter ; d'ailleurs, toi non plus tu ne voulais pas que je parte, je l'ai senti lorsque j'étais lové sur tes genoux, au chaud sur ma couverture, après que le docteur des animaux m'ait soigné pour que je m'endorme pour toujours pour ne plus souffrir ; ton cœur près du mien, tes dernières caresses me faisaient tant de bien ! Tes larmes de chagrin coulaient, coulaient, ne pouvaient s'arrêter, si seulement j'avais pu les sécher...


Tu sais, même si je suis heureux au paradis avec mes amis, je revois très souvent nos promenades dans la forêt de Bois Blanc, dont j'adorais humer de ma truffe chaque recoin, en toute liberté ; un jour, tu as eu très peur pour moi car un sanglier a déboulé d'un chemin devant nous, et moi -onze kilos avec ma touffe de poils- j'étais parti le courser ! Heureusement, tu m'a rappelé et j'ai fait demi-tour, tout penaud...
Te souviens-tu de nos folles balades sur les bords de la Touvre où je prenais un malin plaisir à faire crier les cygnes qui s'approchaient pour attraper le pain sec ? Tu me fâchais -pas très fort- et ils prenaient le large ! Puis tu allais saluer ton ami confident, ton vieux chêne, tu l'entourais de tes bras et je dois avouer que j'étais un peu jaloux. Tu t'asseyais à son pied, appuyais ton dos contre son tronc noueux, tu griffonnais des mots que je ne comprenais pas sur ton cahier à spirales qui ne te quittait jamais ; alors je me blottissais tout contre toi, le museau sur tes genoux, j'aurais tout donner pour ces moments hors du temps, si câlins...
Ah les vacances au bord de la mer, au camping dans la caravane depuis que j'étais chiot, quel bonheur ! L'odeur des embruns me rendaient fou ! Quand mon maître allait à la pêche, je gambadais près de lui sur les rochers... Que de souvenirs inoubliables dans mon cerveau de chien !
Tu disais en riant que je ne ressemblais à rien, mais que j'étais tellement craquant avec mes beaux poils soyeux et bouclés noirs et blancs, et ma magnifique queue en panache...un curieux mélange de caniche et de fox, un bâtard, quoi ! Mais plutôt beau dans son genre spécial, enfin je crois !


Mes maîtres si chers à mon cœur,
Je vous remercie infiniment de m'avoir permis de reposer en paix dans notre jardin, dans le coin ombragé que je préférais, où je regardais mon maître jardiner, m'endormais avec le parfum des roses, courais parfois après un chat qui osait venir sur mon territoire...
Vous avez été des maîtres extraordinaires, si gentils, patients, attentifs à mon bien-être, sachant me gronder quand je le méritais ; j'étais très sociable avec les humains, même avec le facteur, mais avais du mal à supporter mes congénères mâles, par contre, je plaisais beaucoup aux femelles que j'osais aborder !


Je vous regarde maintenant vivre de loin sans vous perdre de vue, sans faire de bruit, je sais que vous ne m'oubliez pas, car vous parlez souvent de moi au cours de vos promenades, je vous ai vu pleurer en cachette pendant longtemps, j'aurais tant aimé vous consoler et vous rassurer sur ma nouvelle vie au-delà des nuages, paisible et sans douleur aucune... j'espère que ma lettre vous réchauffera le cœur, vous saurez ainsi qu'il existe un paradis pour les animaux aussi...
Vous resterez gravés pour toujours dans mon cœur, jamais je ne vous oublierai...


BALOO

Belle introduction, Baloo dévoile avec tendresse sa vie et ses souvenirs…et les instants cruels et déchirants de la fin de son existence…Très émouvant

Quelle belle missive...Bien que certains pensent que l'animal n'a pas d'âme...Je persiste et signe en disant que bien des humains ont à apprendre de la bête...J'ai eu les larmes aux yeux en vous lisant...Merci pour ce bel instant d'amour...

*************

HORS CONCOURS
Pour toi, mon âme sœur Llumierelive

Je t’ai écris cette petite bafouille pour te dire combien je tenais à te remercier…
Le jour de la galette des rois, dans note petit chemin, une voiture a failli me réduire à l’état de crêpe… Vous m’avez transportée sur la grande table de la cuisine, m’avez palpée avec angoisse. Je tapais ma petite tête sur le bois et respirais par à coup et je me souviens de tes paroles qui me murmuraient : « ferme tes petits yeux ma Yayam, calme toi…tu vas bientôt retrouver ta Naptune (ma grande copine Labrador) et tout tes anciens compagnons »… Tu me croyais donc à l’agonie ???
Puis je me suis retrouvée chez le vétérinaire et ai passé deux nuits en clinique ! Et tu es enfin venue me rechercher !
Ton fils et toi m’avez installée dans un beau couffin tout neuf et bien moelleux, j’avais à ma portée une litière dans laquelle je plongeais littéralement, ne pouvant pas marcher…et je faisais mes « besoins » couchée..
Le doct t’avait dit que j’étais une battante et que d’ici deux mois je retrouverai mon autonomie ! Tu as eu du mal à le croire car chaque matin tu avais peur de me retrouver à l’état de carpette…Mais à peine la moitié de ce délai j’ai pu me bouger et maintenant j’ai ma place attitrée sur le canapé, à côté de toi.
Oh ! je me rappelle aussi qu’avec les médicament j’ai choppé une de ces colique où je ne pouvais me retenir et que tu étais obligée de me nettoyer – sans dégout- avec un gant de toilette !
Depuis lors je suis devenue au niveau du miam-miam un tantinet difficile ! et je ne mange pas n’importe quoi : tu varies mes menus, jambon, sardines, pâtés de campagne, viande ou poisson de ton propre repas, et tu ne me sers plus ces horribles croquettes à chat ! tu as l’air soucieuse quand je boude devant mon assiette…
Je te suis partout, sauf à l’étage car l’escalier me semble trop difficile à monter, mais je saute du canapé pour te retrouver dans la cuisine et grimpe aisément dessus pour faire une petite sieste.
Tu me susurres des petits mots tels « ma chérie, mon petit ange, ma beauté » renforcés par des « je t’aime »…
Nous comme vieilles toutes les deux, avec le décalage nous devons avoir le même âge.
J’aime plonger mon regard dans le tien et sentir ta main me caresser, dès que je fais « mia » tu accours et me demandes ce que je veux, lorsque tu vas chercher Noé à l’école ou que tu ailles faire des courses, tu me préviens toujours en me disant tendrement « ne t’inquiète pas, je reviens au plus vire ! » Je sais que tu ne m’abandonneras pas.
En fait, ça en valait le coup de me faire à moitié écrabouiller ! Maintenant tu ne me cries plus après des « dégage sale voleuse de satané chat » et depuis lors j’ai tout les droits !
Par contre il y a une chose qui me chiffonne : je t’ai entendu dire « Yayam n’ira plus dehors, elle est devenue un chat de salon » oh ! j’aimais tant me dorer au soleil, grimper sur les arbres, chasser les mulots et les oiseaux…j’y retournerais, dis ???
En fait, je pense avoir le droit de prendre ma retraite et de me prélasser toute la journée sans ne plus rien faire !
Je dois aussi t’avouer que j’ai de la peine quand je te vois avoir des difficultés à te relever quand tu te mets à quatre pattes pour me déposer ma petite assiette ou ma jatte d’eau fraiche et pour retirer ma grosse commission…Si seulement je pouvais t’aider, mais je ne suis qu’un chat !


Ta Yayam

PS : vrai, j’ai perturbé quelque peu ton mode de vie, envahie ton salon (il était déjà super empli de jouets) avec mon coin dodo/pipi caca et boustifaille…Toi qui est si pointilleuse et n’aime pas tout ce qui traine et n’est pas à sa place…
 
Dernière édition:

zuc

Le chat noir
Membre du personnel
#7
bravo à tous que d'émotions dans vos écrits que je n'ai pu m'y prêter au jeu, et encore moins pour rendre service à Lumière d'être jury,
une pensée à tous nos amis à 4 pattes disparus, pour eux du coup je trouve que c'est bien qu'il n'y ai pas de note n'y gagnants n'y perdant