Il avait l'air malheureux
Assis sur le palier
Je le connaissais un peu
Je lui ai dit de monter.
Mains menottés
Derrière le dos,
Son père l'avait laissé
depuis le matin tôt.
Il s'assit dans le salon
J'allais à la cuisine
J'entends le pauvre garçon
Qui se plaint et rumine.
Je m'approche doucement
Curieuse et inquiète
Il me dit timidement
Qu'il doit aller aux toilettes.
Il me regarde implorant
Et on se sent très gênés
Je l'entraîne lentement
Jusque dans les WC.
Je me tiens à ses cotés
Et déboutonne sa braguette
Puis ma main va chercher
son zizi, sa quequette.
Quand je le prends en main
tous mes poils se herissent
C'est encore un gamin
Quel énorme penis!!
Je lui sors la queue
Avec un peu de mal
Je n'en crois pas mes yeux
C'est une queue de cheval!
Il me faut les deux mains
Pour lui dégager le gland
Qui apparaît soudain
Bien lisse et luisant.
Une fois soulagé,
Je lui secoue la queue
Qui se met à enfler
Et grossit peu à peu.
Là je m'agenouille
Et la détaille longuement
Je dégage ses couilles
Et les serre doucement.
Sa queue devient énorme
Pas très longue mais épaisse
D'une très jolie forme
Qui raidit et se dresse
Je le regarde dans les yeux
Et approche ma bouche
Son gland enfle encore un peu
dès que je le touche.
De mes deux mains
Je coulisse sa peau
J'essaie mais en vain,
Il est trop gros.
Je le ramène jusqu'au salon,
Et l'assois au bord du divan
Je lui baisse le pantalon,
J'enlève slip et collant.
Au dessus de lui, jambes écartées
Je me caresse avec sa grosse queue.
Bien que ma chatte soit toute mouillée,
M'empaler dessus serait monstrueux.
Alors je pivote, me mets sur le coté
Avec mes mains J'ouvre ma chatte,
Me pose sur son gland sans appuyer,
Recouvre de mes lèvres cette boule écarlate.
Tout doucement je descend,
Et jusqu'à la garde je l'enfonce en moi.
Au centre de ma chair un afflux de sang
Et une secousse me font gémir tout bas.
Ma chatte explose et se vide
Mais l'emboîtement est si fort
Que de tout mon brûlant liquide
Pas une seule goutte n'en sort.
Ma peau se détend peu à peu
Et je coulisse sur son membre en douceur.
Je suis remplie de sa queue
Sur toute ma voûte intérieure.
Ce gros morceau de chair en moi
Gonfle et bat comme un coeur
Je sens sur toutes mes parois
Se répandre une chaude liqueur.
Les battements de sa queue
Accentuent la cadence,
Nos liquides se mélangent entre eux,
Je perds connaissance.
Je me réveille, allongée sur le canapé,
Un lait encore tiède entre les cuisses,
Je me lève et ouvre la porte d'entrée,
Assis sur le palier, il me jette un regard complice.