Sous le chaud soleil de mai
Règne un silence de paix
Les arbres frissonnent sous une brise légère
Nous donnant l’illusion d’une vie prospère
Tel un oiseau en cage
J’ai la tête dans les nuages
Tel un animal privé de liberté
Je ne pense qu’à m’en aller
Mais quelque chose me retient
La solitude m’envahit soudain
Comme invisible et cachée
En fait elle ne m’avait jamais vraiment quittée
Des pensées noires obscurcissent mon esprit
Un soupçon de tristesse et de mélancolie
Personne pour me comprendre
Des années réduites en cendre
A rester avec des personnes insensibles
J’appartiens au ciel, telle une cible
Je le laisse me toucher
Je ne pense qu’à m’imprégner
De la douceur de son teint
De couleurs naturelles empreints
L’herbe sous mes pieds
Semble être un tapis brodé
Décoré de boutons d’or
Aurais-je tort ?
De m’y allonger ?
De m’y reposer ?
Il me semble qu’il ne s’est écouler
Que quelques minutes depuis que je me suis installée
Mais cela fait déjà des heures
Que je suis là, c’est avec horreur
Que je vois les nuages assombrirent
La seule chose qui pouvait me retenir
Plus un seul pan de ciel bleu azur
Le ciel est devenu comme impur
Noir, parsemé d’éclairs
Comme un étau qui se resserre,
Il continu à m’étouffer
Moi qui croyait y avoir échappé
La pluie se met à tomber
Je suis maintenant trempée
Mais tel le phénix qui renait de ses cendres
Un flot de paroles tendres
Ne pense qu’à sortir
Mais il n’y a rien de pire
Que d’être seule dans ces moments là
Soudain je tremble, j’ai froid
Les feuilles deviennent vermeils
Les nuages cachent le soleil
La température chute brutalement
Les piscines sont rangées et les enfants
Regardent tristement par la fenêtre
En attendant les beaux jours renaîtrent
La neige se met soudain à tomber
Les familles partent à la montagne pour skier
Les jours se ressemblent, froids et blancs
Dans mes veines se glace mon sang,
Soudain la neige cesse
Laissant place à la caresse
Du soleil sur mon visage
Il est à nouveau temps de tourner une page
Pour laisser s’écouler
Une nouvelle année.
Règne un silence de paix
Les arbres frissonnent sous une brise légère
Nous donnant l’illusion d’une vie prospère
Tel un oiseau en cage
J’ai la tête dans les nuages
Tel un animal privé de liberté
Je ne pense qu’à m’en aller
Mais quelque chose me retient
La solitude m’envahit soudain
Comme invisible et cachée
En fait elle ne m’avait jamais vraiment quittée
Des pensées noires obscurcissent mon esprit
Un soupçon de tristesse et de mélancolie
Personne pour me comprendre
Des années réduites en cendre
A rester avec des personnes insensibles
J’appartiens au ciel, telle une cible
Je le laisse me toucher
Je ne pense qu’à m’imprégner
De la douceur de son teint
De couleurs naturelles empreints
L’herbe sous mes pieds
Semble être un tapis brodé
Décoré de boutons d’or
Aurais-je tort ?
De m’y allonger ?
De m’y reposer ?
Il me semble qu’il ne s’est écouler
Que quelques minutes depuis que je me suis installée
Mais cela fait déjà des heures
Que je suis là, c’est avec horreur
Que je vois les nuages assombrirent
La seule chose qui pouvait me retenir
Plus un seul pan de ciel bleu azur
Le ciel est devenu comme impur
Noir, parsemé d’éclairs
Comme un étau qui se resserre,
Il continu à m’étouffer
Moi qui croyait y avoir échappé
La pluie se met à tomber
Je suis maintenant trempée
Mais tel le phénix qui renait de ses cendres
Un flot de paroles tendres
Ne pense qu’à sortir
Mais il n’y a rien de pire
Que d’être seule dans ces moments là
Soudain je tremble, j’ai froid
Les feuilles deviennent vermeils
Les nuages cachent le soleil
La température chute brutalement
Les piscines sont rangées et les enfants
Regardent tristement par la fenêtre
En attendant les beaux jours renaîtrent
La neige se met soudain à tomber
Les familles partent à la montagne pour skier
Les jours se ressemblent, froids et blancs
Dans mes veines se glace mon sang,
Soudain la neige cesse
Laissant place à la caresse
Du soleil sur mon visage
Il est à nouveau temps de tourner une page
Pour laisser s’écouler
Une nouvelle année.