Un sépulcral frimas
Cette chaleur m'enivre elle assaille elle essouffle
Elle aspire ma vie en un ténébreux souffle
Chaque an elle se tapit tel un démon envieux
Pour nettement pointer son carcan nauséeux
Sur mon âme elle se jette et sous des feux torrides
Consume mon destin pour me rendre insipide.
Où es-tu donc partie chatoyante élegie
Toi ma précieuse amie parsemant mon esprit
D'une succulente once en alchimie divine
Qui sans limite ancrait tes glaciales racines
Pour une anthologie formant l'apothéose ?
Bienfaiteur minéral conservant son osmose
Avec mon entité pour rafraîchir mes jours
Sans cesse me manquant dès que ton heure accourt
De t'effacer bel ange embelli de flocons
Ton éclatant manteau l'ardent astre la fond
Et de par Lucifer trépasse sans relâche.
Notre liesse est happée par ce monstre et ce lâche
De te revoir blancheur l'occasion se fait rare
Ton sens n'est plus seyant pour cet odieux blizzard
Notre Terre s'achesse en cette effet de serre
Pour venir t'estomper ô thérapeutique air
Ta mœlleuse fraîcheur meurt sous cette nuisance
Et ma santé avec en parfaite échéance.
Je te maudis Soleil étiolant ma personne
Tu égrènes l'Hiver j'entends le glas qui sonne
Symbole ostentatoire à ton imposition
Sans conteste abaissant cette nomination
Qu'est cette saison douce et sa pieuse archétype
En simple nom gravé sur un almanach type.
Tu évoques la mort de ce sombre Satan
Toi annonçant pourtant les débuts du printemps
Tu es dénaturé sauf que tu es l'auteur
D'un monde vivifiant pour l'espèce ultérieur.
Certains n'ont pas saisi que tu es l'équilibre
Pour un écosystème en une fiable fibre
Pour que le monde soit un habitat propice
Prospère et rassurant en glorieux édifice.
Alors j'ose prier pour que l'homme comprenne
Qu'il stoppe son fléau par les coups qu'il t'assène
En ardente flambée brûlant notre planète
Pour pouvoir raviver tes diverses facettes
Et que ta poudre claire émerge d'outre-tombe
Pour être un sédatif qui détruit l'hécatombe.
Reforme le climat pour les zones glacées
Et arbore cher saint tes vertus satinées
Pour que notre maison revoit son atmosphère
Favorable aux vivants de notre prochaine ère.
Oiseau Lyre.
Cette chaleur m'enivre elle assaille elle essouffle
Elle aspire ma vie en un ténébreux souffle
Chaque an elle se tapit tel un démon envieux
Pour nettement pointer son carcan nauséeux
Sur mon âme elle se jette et sous des feux torrides
Consume mon destin pour me rendre insipide.
Où es-tu donc partie chatoyante élegie
Toi ma précieuse amie parsemant mon esprit
D'une succulente once en alchimie divine
Qui sans limite ancrait tes glaciales racines
Pour une anthologie formant l'apothéose ?
Bienfaiteur minéral conservant son osmose
Avec mon entité pour rafraîchir mes jours
Sans cesse me manquant dès que ton heure accourt
De t'effacer bel ange embelli de flocons
Ton éclatant manteau l'ardent astre la fond
Et de par Lucifer trépasse sans relâche.
Notre liesse est happée par ce monstre et ce lâche
De te revoir blancheur l'occasion se fait rare
Ton sens n'est plus seyant pour cet odieux blizzard
Notre Terre s'achesse en cette effet de serre
Pour venir t'estomper ô thérapeutique air
Ta mœlleuse fraîcheur meurt sous cette nuisance
Et ma santé avec en parfaite échéance.
Je te maudis Soleil étiolant ma personne
Tu égrènes l'Hiver j'entends le glas qui sonne
Symbole ostentatoire à ton imposition
Sans conteste abaissant cette nomination
Qu'est cette saison douce et sa pieuse archétype
En simple nom gravé sur un almanach type.
Tu évoques la mort de ce sombre Satan
Toi annonçant pourtant les débuts du printemps
Tu es dénaturé sauf que tu es l'auteur
D'un monde vivifiant pour l'espèce ultérieur.
Certains n'ont pas saisi que tu es l'équilibre
Pour un écosystème en une fiable fibre
Pour que le monde soit un habitat propice
Prospère et rassurant en glorieux édifice.
Alors j'ose prier pour que l'homme comprenne
Qu'il stoppe son fléau par les coups qu'il t'assène
En ardente flambée brûlant notre planète
Pour pouvoir raviver tes diverses facettes
Et que ta poudre claire émerge d'outre-tombe
Pour être un sédatif qui détruit l'hécatombe.
Reforme le climat pour les zones glacées
Et arbore cher saint tes vertus satinées
Pour que notre maison revoit son atmosphère
Favorable aux vivants de notre prochaine ère.
Oiseau Lyre.
Pièces jointes
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