Un monde imaginaire ...
Que personne ne sait, seules de nous connues
Où la mer n'est de nuit mais d'un beau jaune d'or.
Sans billet, sans bagage, hors du temps, aussi loin,
Ni wagon, ni vaisseau, au delà des lunes des chagrins,
Embarquer sur les cœurs de la bonne espérance,
Le vent soufflant la voile des nuages en silence.
Les sirènes là-bas s'envolent en chantant,
Leurs ailes diaphanes reflètent les étoiles.
Les mots ont des échos, le ciel est une toile,
Et les grains de soleil ont la couleur du vent.
Les écailles de peau fremissent sous la pluie,
Et il pleure des fleurs qu'un violon nous sourit.
Les rails du voyage nous emportent vers le néant.
Dans la coque d'une noix qui huile nos rêves d'enfants.
LILASYS
Que personne ne sait, seules de nous connues
Où la mer n'est de nuit mais d'un beau jaune d'or.
Sans billet, sans bagage, hors du temps, aussi loin,
Ni wagon, ni vaisseau, au delà des lunes des chagrins,
Embarquer sur les cœurs de la bonne espérance,
Le vent soufflant la voile des nuages en silence.
Les sirènes là-bas s'envolent en chantant,
Leurs ailes diaphanes reflètent les étoiles.
Les mots ont des échos, le ciel est une toile,
Et les grains de soleil ont la couleur du vent.
Les écailles de peau fremissent sous la pluie,
Et il pleure des fleurs qu'un violon nous sourit.
Les rails du voyage nous emportent vers le néant.
Dans la coque d'une noix qui huile nos rêves d'enfants.
LILASYS