UN AIR DE JOUVENCE
J’irai revoir ma Normandie,
C’est le pays qui m’a donné le jour,
Comme le fredonnait si bien mon amie,
Ce pays où j’ai vécu de si beaux jours,
Loin de tumultes de la ville,
Dans ce village de Varaville,
Il y faisait bon vivre avec grand-mère,
Que je retrouvais pendant les vacances,
On y gouttait les bonnes choses de la terre,
C’était le temps béni de mon enfance.
Cette enfance qui s’écoulait calme et paisible,
Je me souviendrais toujours;
De ses grands yeux verts qui pétillent,
A l’aube de ces premiers beaux jours,
On s’était donné la main,
Et toi nonchalant, tu m’enlaçais de tes câlins,
Je t’ai suivi docile sans méfiance,
Dans le grand tourbillon de l’adolescence,
Dans cette Normandie pure et sauvage,
Où l’on s’était promis de n’être plus jamais sage,
Désormais, elle faisait confiance à son destin.
J’irai revoir ma Normandie,
C’est le pays qui m’a donné le jour,
Comme le fredonnait si bien mon amie,
Ce pays où j’ai vécu de si beaux jours,
Loin de tumultes de la ville,
Dans ce village de Varaville,
Il y faisait bon vivre avec grand-mère,
Que je retrouvais pendant les vacances,
On y gouttait les bonnes choses de la terre,
C’était le temps béni de mon enfance.
Cette enfance qui s’écoulait calme et paisible,
Je me souviendrais toujours;
De ses grands yeux verts qui pétillent,
A l’aube de ces premiers beaux jours,
On s’était donné la main,
Et toi nonchalant, tu m’enlaçais de tes câlins,
Je t’ai suivi docile sans méfiance,
Dans le grand tourbillon de l’adolescence,
Dans cette Normandie pure et sauvage,
Où l’on s’était promis de n’être plus jamais sage,
Désormais, elle faisait confiance à son destin.