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Tumulte

#1
Je m'éveille et te voila endormie,
Nue, à mes cotés, offerte dans le grand lit,
Je m'assois et t'observe longuement,
Je pourrais passer ainsi les prochains milles ans...
Ton dos appelle ma mains,
Qui te frole doucement, l'air de rien,
En prenant bien garde de ne pas t'éveiller,
Tu es si belle, dans tes rêves réfugiée...
De la chaleur de ta peau je me saoule,
Sentant en moi un feu qui roule,
Mes mains sur ta nuque, territoire conquis,
De toi je me gorge sans répis...
Ton someil toujours aussi lourd m'engaillardis,
Je goute ta peau, te caresse sans répis,
Toi tu restes dans ton monde endormie,
Mais tu te retourne, impudique sous mon regard supris...
Avec tendresse mais avidité,
Sur le bout de ton sein, ma bouche va se poser,
Pendant que de mes mains, je continue d'explorer,
Ce corps que je redécouvre toujours aussi émerveiller...
Je suce et je tète tendrement,
Te possèder ainsi dans ton someil, c'est charmant,
Je décide de tenter le tout pour le tout,
Qu'ai-je a perdre, apres toi...
Lentement pour ne pas te troubler, je me glisse,
Comme un voleur, entre tes cuisses,
Que j'écarte en prenant soins de te laisser dormir,
Et de ma bouche, je te goute enfin et te fait frémir...
Mais non, tu ne t'éveille pas, tu dors,
Et moi, je continue sans effort,
Car je me gorge de toi, je te te bois,
Pour te faire un peu entrer en moi...
Je parcours tout ton sexe ainsi,
J'en explore tout les détails, tout les replis,
Je sens que tes rêves se troublent beaucoup,
Car ton someil s'agite tout a coup...
Encouragé, je continue a te lecher,
Sous ma langue, je te sens de plus en plus vibrer,
Tu gémis des mots que toi seule comprend,
Mais c'est une douce musique que moi j'entend...
Puis d'un coup, tes yeux se sont ouvert,
Tu as lacher un seul cris en voyant ton corps ainsi couvert,
Tes cuisses se sont rapidement refermer,
Sur ma tête, fesant de moi ton prisonier...
Mais vaillamant, je n'ai pas cesser,
D'avec ma langue, de chavirer,
Et quand après une dure bataille, tu t'es livrer,
Alors vraiment, ma bouche t'as gouter...
Puis tu t'es réendormie sans vraiment réaliser,
Si tout cela t'était bien arriver,
Ou si tu l'avais seulement rêver,
Même si autour de toi, les draps sont trempés...
FIN