J'y pense , souvent avec amertume
Que ta douleur sera certainement infinie
Toi, belle fille d'ébène
Au parfum d'herbes fraîches
Qui sillonne les prés au crépuscule
Quand tu découvriras
Ce dont tu fais l'objet de ta plaisance
Et que tu cajoles dans ton coeur aux milles trésors
Tu croiras que c'est une bévue
Et je crierais avec douceur: "Trop tard"
Il paraît que ta confiance est inébranlable
Oui, c'est un sublime confident
Même son regard est synonyme de pureté
Ses gestes ne peuvent susciter qu'un silence éloquent
où , un doux vent d'orient, y déverse des louanges
Mais tu découvriras
Que la bouche de cet homme est un égoût
Que ses actes ne sont que trahison
Tu sauras donc, que cet homme est un masque
Renfermant un serpent vénimeux
Qui, te caressant avec amour, t'infiltre son poison
Que ta douleur sera certainement infinie
Toi, belle fille d'ébène
Au parfum d'herbes fraîches
Qui sillonne les prés au crépuscule
Quand tu découvriras
Ce dont tu fais l'objet de ta plaisance
Et que tu cajoles dans ton coeur aux milles trésors
Tu croiras que c'est une bévue
Et je crierais avec douceur: "Trop tard"
Il paraît que ta confiance est inébranlable
Oui, c'est un sublime confident
Même son regard est synonyme de pureté
Ses gestes ne peuvent susciter qu'un silence éloquent
où , un doux vent d'orient, y déverse des louanges
Mais tu découvriras
Que la bouche de cet homme est un égoût
Que ses actes ne sont que trahison
Tu sauras donc, que cet homme est un masque
Renfermant un serpent vénimeux
Qui, te caressant avec amour, t'infiltre son poison