La fumée de ma cigarette
Comme tous mes espoirs
Se disperse par la fenêtre,
Soir après soir…
Si rares sont les baisers,
Alors pour oublier ce monde imparfait
Je prends d’une cigarette, toutes les bouffées
Ce n’est qu’après que je suis apaisée
Le goût d’aimer commence à s’envoler
Et cette bouche remplie de fumée
D’où mes lèvres la laissent filer
N’aura bientôt plus rien à dévoiler
Ce n’est pas que je la veuille
Mais elle est là, solitude tant redoutée
Comme figée là, me narguant sur le seuil
D’une maison que je refuse d’habiter
Heureusement, je l’apprivoise
D’ennemie, j’en fais mon amie
Je n’ai pas l’choix car elle me toise
C’est pas facile mais je relève le défi.
Comme tous mes espoirs
Se disperse par la fenêtre,
Soir après soir…
Si rares sont les baisers,
Alors pour oublier ce monde imparfait
Je prends d’une cigarette, toutes les bouffées
Ce n’est qu’après que je suis apaisée
Le goût d’aimer commence à s’envoler
Et cette bouche remplie de fumée
D’où mes lèvres la laissent filer
N’aura bientôt plus rien à dévoiler
Ce n’est pas que je la veuille
Mais elle est là, solitude tant redoutée
Comme figée là, me narguant sur le seuil
D’une maison que je refuse d’habiter
Heureusement, je l’apprivoise
D’ennemie, j’en fais mon amie
Je n’ai pas l’choix car elle me toise
C’est pas facile mais je relève le défi.