Tristes maux.
Abordé ta tendresse, je ne sais comment m’y prendre.
Je la vois accourir vers toi, à ton cou, elle ose se pendre.
Je n'ai pas su ouvrir mon cœur à moi, je peux me méprendre.
De mes gestes malhabiles, j’ai bien trop souvent douté.
Peut-être aurais-je dû seulement tenté de m’écouter ?
Sans penser à l’avenir, trop d’instants prés de toi, j’ai écouté.
Seuls les regards que je t’envoie peuvent me trahir.
Cela pourrait être des émois, des larmes qui pourraient me tenir.
Pour rêver de toi sans cesse, je veux pour toujours m’endormir.
Sous ma plume inassouvie, fusent des mots d’amour ignorés.
Avec toi, j’aurai la lune ou le soleil bien tendrement recolorés.
Avec les fleurs, nous aurions bâti nos chimères sous de jolies orées.
Aujourd’hui, c’est elle qui a su faire près de toi sa place.
Entre tes bras, elle se blottit sous tes caresses, elle se prélasse.
J’imagine sa joie si grande lorsque tendrement, tu l’enlaces.
J’aurais voulu que l’univers de tes bras puisse devenir mon Eden.
Les jours chauds, froids, comme les nuits sans lune ou pleine,
Trop de tristes maux effeuillent peu à peu, un peu plus ma peine.
Sans bruit, je m’éloignerai de ce que j’ai toujours trop aimé.
En partant, je sentirai les derniers battements de mon cœur abîmé.
Partout où j’irai, sur mon visage brillera l’air d’une femme mal-aimé.
Abordé ta tendresse, je ne sais comment m’y prendre.
Je la vois accourir vers toi, à ton cou, elle ose se pendre.
Je n'ai pas su ouvrir mon cœur à moi, je peux me méprendre.
De mes gestes malhabiles, j’ai bien trop souvent douté.
Peut-être aurais-je dû seulement tenté de m’écouter ?
Sans penser à l’avenir, trop d’instants prés de toi, j’ai écouté.
Seuls les regards que je t’envoie peuvent me trahir.
Cela pourrait être des émois, des larmes qui pourraient me tenir.
Pour rêver de toi sans cesse, je veux pour toujours m’endormir.
Sous ma plume inassouvie, fusent des mots d’amour ignorés.
Avec toi, j’aurai la lune ou le soleil bien tendrement recolorés.
Avec les fleurs, nous aurions bâti nos chimères sous de jolies orées.
Aujourd’hui, c’est elle qui a su faire près de toi sa place.
Entre tes bras, elle se blottit sous tes caresses, elle se prélasse.
J’imagine sa joie si grande lorsque tendrement, tu l’enlaces.
J’aurais voulu que l’univers de tes bras puisse devenir mon Eden.
Les jours chauds, froids, comme les nuits sans lune ou pleine,
Trop de tristes maux effeuillent peu à peu, un peu plus ma peine.
Sans bruit, je m’éloignerai de ce que j’ai toujours trop aimé.
En partant, je sentirai les derniers battements de mon cœur abîmé.
Partout où j’irai, sur mon visage brillera l’air d’une femme mal-aimé.
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