Tel don !
En ce don d’où me vient cette compassion ?
Soigner ces corps mourants, quelle conversion !
Se pourrait-il qu’il vienne au regard qu'il redoute ?
Un peu surnaturel faut-il qu’il me déroute ?
En ce don d’où me vient cette compassion ?
Soigner ces corps mourants, quelle conversion !
Masser dans la douceur l’apaisement de l’âme
Et ces pleurs tout ce pain qu’il dévore à sa flamme,
Il me presse et m’oppresse à qui dois-je mon cœur ?
S’il se meurt d’un outrage en l’heure à sa rancœur
Se pourrait-il qu’il vienne au regard qu'il redoute ?
Un peu surnaturel faut-il qu’il me déroute ?
À qui ce don est-il ? De Satan ou bien Dieu ?
Je ne crois ni dans l’un ni dans l’autre en mon lieu.
Lors l’extrême onction vient nourrir à ce souffle
Séchant mon for ôtant ce talent qu’il m’insuffle
À qui ce don est-il ? De Satan ou bien Dieu ?
Je ne crois ni dans l’un ni dans l’autre en mon lieu.
Et comme un océan pérennisant l’écume
Je vais du don posant, résider dans sa brume.
La souffrance indicible en veillant la candeur
L’envie à vivre un temps encore à cette ardeur
Lors l’extrême onction vient nourrir à ce souffle
Séchant mon for ôtant ce talent qu’il m’insuffle !
En ce don d’où me vient cette compassion ?
Soigner ces corps mourants, quelle conversion !
Se pourrait-il qu’il vienne au regard qu'il redoute ?
Un peu surnaturel faut-il qu’il me déroute ?
En ce don d’où me vient cette compassion ?
Soigner ces corps mourants, quelle conversion !
Masser dans la douceur l’apaisement de l’âme
Et ces pleurs tout ce pain qu’il dévore à sa flamme,
Il me presse et m’oppresse à qui dois-je mon cœur ?
S’il se meurt d’un outrage en l’heure à sa rancœur
Se pourrait-il qu’il vienne au regard qu'il redoute ?
Un peu surnaturel faut-il qu’il me déroute ?
À qui ce don est-il ? De Satan ou bien Dieu ?
Je ne crois ni dans l’un ni dans l’autre en mon lieu.
Lors l’extrême onction vient nourrir à ce souffle
Séchant mon for ôtant ce talent qu’il m’insuffle
À qui ce don est-il ? De Satan ou bien Dieu ?
Je ne crois ni dans l’un ni dans l’autre en mon lieu.
Et comme un océan pérennisant l’écume
Je vais du don posant, résider dans sa brume.
La souffrance indicible en veillant la candeur
L’envie à vivre un temps encore à cette ardeur
Lors l’extrême onction vient nourrir à ce souffle
Séchant mon for ôtant ce talent qu’il m’insuffle !